Qui dit nouvelle semaine, dit nouveau thème pour nos apprentis danseurs. Cette fois-ci, ils devront composer autour de la Crazy Night. Une soirée spéciale et inédite dans l’histoire de Danse avec les Stars où les candidats devront intégrer encore plus de folie à leur chorégraphie. Pour Arielle, ce sera deux fois plus de danse dans une même prestation. Tango et French-Cancan dans une même chorégraphie. Impossible ? Pour l’aider, Maxime lui présente des danseuses du Moulin Rouge… Les répétitions, c’est tous les jours sur MYTF1.
Alors qu’elle enchaîne les répétitions pour l’émission Danse avec les stars, Arielle Dombasle s’est confiée sur sa première rencontre avec son époux Bernard-Henri Lévy. Une séquence émotion diffusée sur TF1.
Si elle est d’habitude discrète quant à sa vie privée, Arielle Dombasle a toutefois accepté de se confier sur sa rencontre avec son époux Bernard-Henri Lévy. A l’occasion du deuxième prime de Danse avec les stars, la comédienne a raconté avoir eu un véritable coup de foudre : « Pour moi le grand amour de ma vie avec qui je suis encore, c’est Bernard-Henri, cet amant, cet ami, merveilleux écrivain qui est devenu mon mari et que j’adore », a-t-elle affirmé. Une belle déclaration d’amour que la chroniqueuse des Grosses Têtes sur RTL a souhaité adresser à son compagnon.
Tout a commencé lors d’une dédicace organisée par Bernard-Henri Lévy dans une librairie. Fan de son ouvrage, Arielle Dombasle a souhaité rencontrer l’écrivain. Mission réussie : « J’ai été foudroyée, a-t-elle ajouté. L’homme de ma vie, c’est lui. Et je décide de le rencontrer et de faire signer mon livre. » Un premier regard, et c’est le coup de foudre : « Il y a beaucoup de femmes et moi, il m’a regardée et il y a sûrement quelque chose qui s’est passé car il a écrit ‘A Arielle, en attendant’… », a-t-elle poursuivi.Le duo s’est ensuite retrouvé à Milan, pour ne plus jamais se quitter : « Deuxième super coup de foudre. (…) On savait qu’on serait inséparables. Quand on aime vraiment, on veut que ça dure toujours. Mais la vie amoureuse n’est pas un long fleuve tranquille. »
La comédienne a ensuite offert une magnifique prestation sur le titre phare d’Adele, « Someone like you » aux côtés de son partenaire Maxime Dereymez. Une séquence émouvante qui a certainement convaincu son époux.
Arielle Dombasle : « On peut être heureux dans d’autres bras »
Ce samedi 21 octobre, l’émission « DALS » était consacrée à la vie personnelle des candidats. Arielle Dombasle s’est donc livrée sur sa relation amoureuse avec son mari, Bernard-Henri Lévy. Elle l’a désigné comme étant « l’amour de sa vie », partageant sa vie depuis l’âge de 18 ans. La chanteuse devait danser sur la chanson d’Adele, « Someone Like You ». Pour elle, « cette chanson raconte qu’on peut perdre quelqu’un et que finalement on ne lui est pas indispensable. On peut être heureux dans d’autres bras. »
Le deuxième prime de Danse avec les Stars était placé sous le signe de la « personal story » où chaque candidat mettait en avant un thème qui lui était cher. En femme amoureuse, Arielle Dombasle a tout naturellement opté pour le thème de l’amour, « la grande aventure de la vie, » et pour la passion qu’elle partage avec son époux Bernard-Henri Lévy.
En hommage à l’excellence de la parfumerie française, Mauboussin, éditeur de souvenirs et d’émotions parfumés, et Arielle Dombasle signent une co-création parfumée : Le Secret d’Arielle. Une fragrance inspirée par l’artiste Diva et son univers au travers de laquelle elle dévoile son lien intime et précieux avec le parfum.
Ce samedi 21 octobre, TF1 diffusait le second prime time de cette 8e saison de DALS. Dix célébrités – Vincent Cerutti, Arielle Dombasle, Joy Esther, Agustin Galiana, Elodie Gossuin, Camille Lacourt, Lenni-Kim, Tatiana Silva, Sinclair, Hapsatou Sy – tentent de séduire le jury et le public afin de poursuivre l’aventure.
ARIELLE DOMBASLE DÉCLARE SON AMOUR À SON MARI
La semaine dernière, Arielle Dombasle et son partenaire Maxime Dereymez se sont lancés dans un paso doble sur le tube Makeba de Jain. Un véritable challenge pour la comédienne. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le défi a été relevé haut la main. « Vous avez une énergie presque juvénile », lui avait même lancé Nicolas Archambault.
Ce soir, à l’occasion de cette soirée personnelle, Arielle Dombasle choisit de rendre hommage à son mari Bernard-Henri Lévy, l’homme de sa vie. Le duo se lance dans un foxtrot au son de Someone like you d’Adele. Une danse réussie puisque Jean-Marc Généreux lâche son premier « Et ça, j’achète ! » de la soirée. De son côté, Chris Marques avoue avoir été « bouche bée » face à tant de douceur en début de prestation. En bref, pluie de compliments pour le duo.
Les notes : Jean-Marc : 7/10
Nicolas : 7/10
Fauve : 7/10
Chris : 5/10
Total : 26 (ajoutés aux 24 points de la semaine dernière, cela fait 50 points)
Pour leur deuxième danse de la compétition, Arielle Dombasle et Maxime Dereymez se présentent sur le dancefloor avec un foxtrot sur le titre « Someone Like You » de la chanteuse Adele. Le thème de la semaine a beaucoup inspiré Arielle qui voulait parler de son sujet préféré : l’amour. Une danse pleine de grâce et d’émotion qui a conquis le public et les membres du jury…
Il se passe des choses bizarres dans les salles de répétition. Aujourd’hui, on retrouve Maxime Dereymez et Arielle Dombasle, toujours aussi studieux. Petit détail qui n’aura échappé à personne. Ça y est, ces deux-là se tutoient.. Autre détail, Arielle a changé de baskets. Toujours perchées, mais elles tendent à se rapprocher un peu de ce que Maxime lui a demandé.. Enfin, tous les professeurs le savent, il faut adapter ses cours à à capacité d’écoute de ses élèves, Maxime ne déroge pas à la règle… A partenaire évanescente, on utilise un vocabulaire qui convient … Les répétitions, c’est tous les jours sur MYTF1.
Chaque salle de répétition se succède mais ne se ressemble pas. Direction la salle « Jungle ». Ici, on entre sans faire de bruit. On s’installe dans un petit coin et on observe.. Arielle Dombasle et Maxime Dereymez sont en pleine répétition. L’ambiance est studieuse et très concentrée. Qui a dit qu’elle voulait le meilleur ? Les répétitions, c’est tous les jours sur MYTF1.
Toute la Télé – Ce samedi 14 octobre, TF1 lançait la huitième saison de Danse avec les Stars. Arielle Dombasle se confie sur sa participation et son binôme avec Maxime Dereymez.
Benoît Mandin : Pourquoi avoir accepté de participer à Danse avec les stars ?
Arielle Dombasle : Je ne sais pas très bien moi même (rires). Je me suis dit que ça allait être une planète rafraîchissante, amusante et de dépassement de soi. Ce sera quelque chose de totalement sportif et d’ailleurs.
La production vous avait sollicité dès le début de Danse avec les stars. Pourquoi avez-vous donné votre accord pour la saison 8 ?
Je pense que cela vient de la période de ma vie où je suis. J’ai envie de faire quelque chose de très sportif, car c’est comme des olympiades. Tout cela est un défi entre moi et moi.
Quand on voit votre carrière, n’est-il pas difficile de se confronter au regard des juges dans un domaine où l’on n’excelle pas ?
Tout le monde me dit que je suis folle de me lancer un tel défi ! Je redoute tout et en même temps, je suis fière de mon audace. La danse remonte à mon enfance et les danseuses sont les premières figures de l’existence que j’ai admirée. J’ai toujours trouvé qu’être une danseuse, c’était être au sommet de la grâce. Je suis admirative de l’époque hollywoodienne et là ce n’est pas simplement bouger, mais des danses savantes.
Avez-vous des préférences pour les premiers primes en matière de danse ?
J’ai envie de bien apprendre à danser la rumba, le calypso, le cha-cha ou encore la valse viennoise par rapport au fox-trot. Je ne connais pas toutes ces danses très pointues.
« Je me suis dit que Danse avec les stars allait être une planète rafraîchissante, amusante et de dépassement de soi »
Comment se sont passés les premiers entraînements ?
Super dur ! Je me sens assassinée. Maxime est formidable et m’a donné le conseil d’avoir confiance, ce qui est très difficile. Maxime Dereymez : On apprend à se connaître en tant que personne et j’apprends à découvrir les talents d’Arielle. Je vois les capacités et les choses qu’il va falloir plus approfondir comme le déplacement. Elle a une grâce naturelle, mais il ne faudrait pas qu’elle l’a perdue lors de ses déplacements.
Comment avez-vous appréhendé ce nouveau challenge ?
Maxime Dereymez : Chaque année, on a un stress par rapport à la chorégraphie. Je veux qu’elle soit marquante dès le premier prime. Je commence à me dire qu’elle peut être vraiment intéressante et marquer le public. Le but est qu’Arielle soit heureuse de la faire et conserve un souvenir mémorable.
Quels conseils lui avez-vous déjà donnés ?
Un conseil psychologique en me faisant confiance. On s’embarque ensemble dans l’aventure et on va apprendre à se connaître. Je vais tout faire pour m’adapter, mais si on veut que le couple marche, il faut avoir une confiance mutuelle.
Que pensez-vous du choix d’Arielle Dombasle de se confronter à un jury et des millions de téléspectateurs alors qu’elle a déjà une immense carrière ?
Je trouve ça hyper courageux. Arielle a différentes facettes, elle excelle en chant, en comédie et j’imagine dans d’autres choses. La danse, elle a excellé dans une discipline que j’ai pu découvrir au Crazy Horse, mais se mettre à nue dans une discipline qu’elle ne connaît pas, c’est audacieux et c’est un beau challenge.
L’émission fait le plein de nouveautés cette saison…
Effectivement, il y en a beaucoup. C’est courageux de la part de la production et de la chaîne, il faut du renouveau pour ne pas lasser le public. Je suis toutefois déçu pour les danseurs qui sont partis puisque ce sont des amis et des vrais pros. J’aime beaucoup le nouveau système de notation, je trouve ça intéressant et je pense qu’il aura beaucoup d’incidence sur le sort des sept premières saisons (rires).
La nouvelle saison de Danse avec les stars a débuté samedi dernier, sur TF1. Arielle Dombasle est l’une des figures de proue du casting, et danse avec l’expérimenté Maxime Dereymez. Pour Non Stop People, le vainqueur de la compétition (avec Shy’m) juge la première prestation de sa partenaire.
La saison 8 de Danse avec les stars a démarré samedi dernier, en prime time, sur TF1. Et pour la huitième année consécutive, Maxime Dereymez fait partie des danseurs sélectionnés pour accompagner une personnalité sur la piste. Ils ne sont que quatre à avoir participé à toutes les saisons en tant de danseur : Maxime Dereymez donc, Christophe Licata, Candice Pascal et Katrina Patchett. Depuis 2011, Maxime Dereymez – qui a fondé sa propre trouve de danseurs,D’pendanse, a successivement accompagné Sofia Essaïdi (deuxième de la compétition), Shy’m (avec qui il a remporté la saison 2), Estelle Lefébure, Laury Thilleman, Tonya Kinzinger, Sophie Vouzelaud et Caroline Receveur.
Cette année, c’est Arielle Dombasle qui a la chance de pouvoir compter sur les conseils avisés de Maxime Dereymez. Personnalité atypique et attachante, elle compte bien aller le plus loin possible dans l’émission. Et selon son partenaire de danse, cela a plutôt bien débuté. « Ça se passe très bien, on a commencé il y a très peu temps, même pas un mois. Avec Arielle, comme elle a dit qu’elle avait fait le Crazy Horse, tout le monde pense qu’elle a de la danse dans les pattes, mais non, ce n’est pas le cas. Là, on demande un vrai déplacement, une technique de danse en couple, pour elle c’est une nouveauté. Mais elle s’en est bien sortie samedi, j’étais super fier d’elle, vraiment », explique-t-il au micro de Non Stop People.
Cette semaine, Danse avec les Stars laisse libre cours à l’imagination des stars pour trouver une chanson en accord avec leurs histoires personnelles. Ce thème inspire beaucoup Arielle Dombasle qui souhaite ainsi parler de son sujet favori, l’amour : « L’amour, on sait que c’est l’abîme et que l’on va aller dans un chemin extraordinairement escarpé et inconnu, très intense et très beau », confie-t-elle devant un Maxime Dereymez dubitatif. Il lui propose alors de travailler sur un foxtrot. S’il s’agit de sa danse préférée, c’est également la plus technique à réaliser. Cette semaine, les couples n’ont plus le droit à l’erreur car samedi prochain, l’un d’entre eux sera définitivement éliminé…
Alors qu’Arielle Dombasle et Maxime Dereymez ont ouvert la huitième saison de Danse avec les Stars sur un Paso Doble, vous retrouverez également Arielle Dombasle en interview dans le nouveau numéro de Télé 7 Jours :
Pour leur toute première prestation dans Danse avec les Stars, Arielle Dombasle et Maxime Dereymez se présentent sur le dancefloor au rythme latin de « Makeba » de la jeune chanteuse Jain. Pour adopter le style typique du Paso, Maxime joue le rôle du torero et Arielle, celui de sa « muleta », une cape en français. Le défi de cette semaine est de surpasser le stress. Arielle et Maxime vont-ils convaincre le jury et enchanter le public pour cette première prestation ?
Regardez leur première danse sur le parquet du studio 217 en cliquant ici.
PROJECTION – Ils sont dix cette saison à se frotter aux danseurs professionnels et à l’avis de l’intraitable jury du concours de danse de TF1. LCI leur a demandé de compléter la phrase : « J’aurai réussi mon aventure Danse avec les stars si… »
Défi personnel. Dépassement de soi. Et exercice physique. Depuis les débuts de l’émission en France en 2011, les mots des participants sont les mêmes pour qualifier leur parcours dans Danse avec les stars. Mais dans quelle(s) condition(s) auront-ils réussi leur aventure ? LCI a posé la question aux personnalités de la huitième saison du concours de danse de TF1, qui débute samedi à 21h.
L’ancienne Miss France Elodie Gossuin souhaite que ses enfants soient « fiers d’elle », le chanteur Lenni-Kim espère ne pas laisser « échapper » sa partenaire Marie Denigot dans un porté, le héros de la série « Clem » Agustin Galiana veut « s’amuser ». Mais pour tous, un point commun : la volonté de faire tomber les barrières qui les entoure et de ressortir du studio 217 « différent ». La réponse la plus drôle ? Celle d’Anthony Colette, le danseur de la comédienne Joy Esther, qui a laissé bouche bée son binôme (à voir dans la vidéo ci-dessus).
Cette semaine, retrouvez Arielle Dombasle et Camille Lacourt en couverture du nouveau numéro de TV Mag pour leur participation à l’émission Danse avec les Stars !
Arielle Dombasle, Camille Lacourt et Tatiana Silva étaient sur le plateau de C à Vous à quelques jours du début de Danse avec les Stars, le 14 octobre à 21 heures sur TF1.
Contrairement à un article paru dans le magazine Voici, l’élimination d’Arielle Dombasle dans Danse avec les Stars n’est pas programmée au bout de la quatrième émission. C’est auprès du média Non Stop People qu’Alexandre Dumont, proche collaborateur d’Arielle Dombasle, s’est exprimé pour démentir cette rumeur :
« Non, Arielle Dombasle ne participera pas qu’à 4 émissions de Danse avec les Stars. Elle souhaite par dessus tout gagner, c’est dans son tempérament ! »
Des propos soutenus par Arielle Dombasle qui a tenu à mettre au clair ces inepties :
C’est officiel, Arielle Dombasle participera à la prochaine saison de « DANSE AVEC LES STARS » ! C’est la première personnalité à confirmer sa présence à cette 8ème édition.
Figure iconique et égérie des plus grands réalisateurs, depuis ses débuts, Arielle Dombasle ne cesse d’élargir le prisme de ses pratiques artistiques allant du cinéma à la chanson en passant par le music-hall !
Arielle Dombasle a tourné avec les plus grands réalisateurs et a toujours su alterner les films underground et les films grand public : Roman Polanski, Peter Handke, Raoul Ruiz, Agnès Varda, Cédric Kahn, Claude Lelouch, Diane Kurys, Alain Robbe-Grillet… Elle apparaît pour la première fois à l’écran dans « Perceval le Gallois » d’Eric Rohmer dont elle est vite devenue l’actrice fétiche. Elle devient l’égérie d’un cinéma littéraire et exigeant mais également une figure de l’univers du cinéma populaire dans plusieurs comédies à succès comme « Un indien dans la ville » d’Hervé Palud ou « Astérix et Obélix contre César » de Claude Zidi.
Arielle Dombasle est une chanteuse reconnue aussi bien en France qu’à l’étranger ; ses quatre premiers albums ont été couronnés de trois disques d’or et un double disque de platine, mêlant pop et lyrique (« Extase », « Liberta », « Amor, Amor », « C’est si bon »), elle a travaillé avec Philippe Katerine pour son album « Glamour à mort ». C’est avec Nicolas Ker qu’elle a enregistré son dernier album « La Rivière Atlantique » (dans les bacs actuellement).
On a vu Arielle Dombasle sur les planches de l’Opéra Comique dans des comédies musicales telles que « La belle et la toute petite bête » ou « Don Quichotte contre l’ange bleu » de Jérôme Savary ; puis avec Alfredo Arias pour incarner Lana Turner dans « El Tigre » sur une musique de Bruno Coulais (« Microcosmos », « Les Choristes ») il y a trois ans.
On a pu la découvrir aussi comme meneuse de revue au Crazy horse, mythique cabaret parisien, où elle mêlait la science lumineuse de l’effeuillage et du chant en live.
Avec « DANSE AVEC LES STARS », c’est un tout nouveau challenge qui attendArielle Dombasle sur la piste de danse.
Rendez-vous bientôt sur TF1 et sur les chaînes privées ultramarines pour la nouvelle saison de « DANSE AVEC LES STARS ».
La chanteuse et comédienne de 59 ans a décidé de fouler le parquet de TF1 cet automne.
On parlait d’elle pour intégrer le jury de «Nouvelle Star»… Surprise, c’est dans «Danse avec les stars» qu’Arielle Dombasle fera sa rentrée. Du côté des candidats.
Un joli coup pour le concours de danse de TF1, qui l’avait sollicitée pour sa première édition en 2011 avant de retenter sa chance cette année. Et cette fois, la comédienne et chanteuse de 59 ans a dit oui. «C’est une récréation pleine de légèreté en même temps qu’un challenge athlétique, et ça m’amuse», nous confie l’épouse de Bernard-Henri Lévy, dans une interview exclusive à paraître ce jeudi dans Le Parisien.
Passionnée de danse et de cultures latines, l’ex-meneuse de revue du Crazy Horse, qui se définit comme «sportive», part plutôt bien armée vers le parquet de la Une. Avec le soutien de son mari («il m’a dit : si ça t’amuse, pourquoi pas ?») lequel ne devrait toutefois pas apparaître sur TF1 à ses côtés. «Bernard-Henri n’a d’ailleurs jamais regardé l’émission je crois… Mais justement, il faut toujours surprendre la personne qu’on aime.» Et ne pas s’inquiéter des critiques, qu’elles proviennent du jury («on passe sa vie à être jugé de toute façon») ou des téléspectateurs («le public a toujours été clément avec moi»).
Paris Match. On vous connaît comédienne, chanteuse, réalisatrice. Voici que vous lancez votre parfum, Le Secret d’Arielle, édité par Mauboussin et conçu exclusivement par vos soins… Arielle Dombasle. Oui, depuis près de vingt ans, je porte jour et nuit un mélange que je fais moi-même à base d’Aromatics Elixir, d’une note de Cuir de Russie, petit suc que m’avait donné Karl Lagerfeld il y a des années, d’iris ambré et d’une petite pointe d’un musc blanc, très rare. Tout le monde me disait : “Tu sens tellement bon ! J’adore ton parfum. Qu’est-ce que c’est ?” A quoi je répondais : “C’est mon secret, un savant mélange.” Je n’en changeais jamais car Bernard-Henri, mon fiancé d’époux, en était fou depuis toujours. L’idée m’est venue de créer vraiment sa formule, ce parfum visiblement addictif, ce philtre d’amour en quelque sorte, irrésistible comme dans le roman de Süskind.
Vous êtes donc allée à Grasse, une ville que vous connaissez bien… Oui, une ville qui a beaucoup compté pour moi dans une période très cruelle de ma vie. A la disparition de maman, quand j’avais seulement 12 ans, j’ai passé un an dans une école religieuse à Grasse où je cachais ma vie, mon passé au Mexique et surtout le fait que je n’avais plus de maman. Mes grands-parents avaient une propriété à Saint-Mathieu de Grasse. Je chéris une vision très précise des champs de jasmin et de roses blanches sur les collines qui entouraient la maison. Je revois cette petite jeune fille qui me fascinait en sillonnant les sentiers, les bras chargés de paniers de pétales, en petit short blanc. A l’époque, je me disais : “Quand je serai grande, je pourrai me parfumer et avoir accès au royaume de la volupté, de l’attirance et de la séduction” qu’évoquait le parfum pour moi, autant que l’envoûtement et la promesse du bonheur.
La séduction passe-t-elle nécessairement par le parfum ? Sans doute je me souviens du sillage magique qui entourait maman, et son rouge à lèvres, Bois de rose, de Dior. Jeune fille, maman a travaillé auprès de Mme Laura Bacon, une Américaine très élégante qui, à l’époque, dirigeait la communication de la maison Dior et qui était aussi ma marraine. Elle a habité le Ritz pendant trente ans, encore plus longtemps que Coco Chanel. M. Dior adorait ma mère. Il trouvait qu’elle avait les plus jolies jambes de Paris, et il l’emmenait régulièrement boire un chocolat chaud au Plaza. Il a également dessiné sa robe de mariée.
« Toute attraction physique commence toujours par des effluves, un vertige: le parfum »
Que voulez-vous dire par là ? Notre âme voyage… La volupté, les arrière-mondes… On capte quelque chose qui reste dans l’air, le sillage d’une femme, la peau de son amant, le début du plaisir. On s’enivre. On est emporté. L’imprégnation des tentures, des tissus, des soies, des moires et de certaines fourrures envoûte et transporte. Il me semble que je peux sortir mal coiffée, habillée n’importe comment, sans rouge à lèvres, mais jamais sans mon parfum ! Comme je n’ai jamais passé une seule nuit dans les bras de mon amour sans être parfumée.
Vous parlez du parfum comme de quelque chose de très mystique… Oui, entre ciel et terre… C’est une chose si précieuse ! Après tout, le premier présent offert par les Rois mages au Christ était déjà des parfums : de la myrrhe et de l’encens ! D’où l’aspect mystique et sacré. Un monde où l’on interdirait le parfum serait un enfer ! Les femmes possèdent une sorte d’innocence naturelle, mais il faut pouvoir déceler dans leur sillage la note animale qui sera attirante, ravageuse, irrésistible. Une femme est belle quand elle sent un regard amoureux posé sur elle.
« J’ai toujours placé l’amour aux postes de commande de la vie, au-delà de tout »
Arielle Dombasle
A en croire votre allure éternellement juvénile, le regard posé sur vous doit être extrêmement amoureux ! Vous croyez ? [Rires.] J’ai toujours placé l’amour aux postes de commande de la vie, au-delà de tout. Carrière, gloire, puissance. Le suc de ma vie est l’amour. Une femme doit rester inspirante. Etonner, éblouir, ne pas se plaindre et tenir ses promesses. Volupté et douceur.
Cela signifie-t-il que, lorsque vous avez du chagrin, vous arrivez à faire bonne figure ? J’aime le mystère, la délicatesse. Je ne montre jamais mes démons, les passions destructives que nous possédons tous, hélas… Il faut éviter d’être comme ces héroïnes qui entrent dans la jouissance de détruire. Ou de se sacrifier jusqu’à la mort. Tel fut, hélas, le destin de ma mère qui, victime d’un romantisme excessif, est morte d’amour à 32 ans. Je veux vivre sa vie, venger sa mort, et faire une ode à la féminité. Je refuse de plonger dans les passions tristes et l’absolue destruction.
Auriez-vous une recette miracle pour surmonter les épreuves ? En cas de chagrin abyssal, il faut toujours se dire qu’il y a une autre issue que la mort. Penser que l’on peut apporter à l’autre, à l’être aimé, quelque chose que vous seule pouvez lui donner… Un bonheur, des plaisirs complexes, une joie dont vous seule avez la clé… Et puis, générosité, douceur et tact : “Après vous, je vous prie.” Avoir recours au secret, au silence aussi… Car les mots peuvent tuer.
Ce qui fait que vous ne vous confiez à personne, pas même à votre meilleure amie ? Non, à personne. Je ne me confie jamais. Je ne me plains jamais. Je suis d’une nature secrète et, seule, j’essaie d’amadouer mes démons.
Un comportement qui nécessite une très grande maîtrise… J’essaie, à ma mesure, de contrôler mes colères ou mes emportements car je sais que mes démons pourraient m’emmener trop loin et faire de moi une meurtrière. Tuer ou se tuer par amour… Une grande tentation romantique que je porte en moi, c’est vrai.
Votre force de caractère semble immense, à l’opposé de l’apparente fragilité de votre physique. Fragile… oui. Funambule, plutôt. Mais aussi un vrai petit soldat.
Après l’électro ou les musique latines, la plus sympathique de nos divas s’attaque au rockabilly. Un disque délirant… à l’image de la dame.
Arielle Dombasle souffre d’une étrange maladie : la schizophrénie musicale. A chaque enregistrement, elle aborde un genre différent qui a peu à voir avec le précédent. C’est ainsi qu’on l’a connue diva latina, cantatrice classique versant dans l’électro, torch singer, extraterrestre imaginée par Philippe Katerine. La voilà qui revient en chanteuse rockabilly entre Wanda Jackson et « Annie du Far West ». « Il n’y a pas une logique dans mon chemin mais quelque chose qui va de soi, dit-elle. Je suis mes envies, je parcours des cosmos que j’aime et j’interprète ce que je veux. Ma voix est le trait d’union. J’ai appris l’opéra à cause de cette voix. La voix est comme un cheval fou qu’on réussit d’abord à dompter. Puis on lui apprend à faire des figures. Le rockabilly n’est pas une suite illogique car, dans mon précédent enregistrement, je chantais Nat King Cole. Ces deux périodes se touchent. Là, nous sommes dans les années 1950 et cela arrive juste après mes revisites des univers sud-américains des années 1930 et 1940. »
Et le plus remarquable, c’est qu’une fois encore elle aurait tout pour être ridicule mais ne l’est pas. Arielle Dombasle ressemble à un personnage de bande dessinée qui peut se permettre toutes les excentricités, taquiner toutes les outrances, prendre toutes les poses. « Je ne pense pas être dans l’outrance, estime-t-elle, j’essaie de rentrer dans un univers avec des points signifiants d’une époque mais en les réinvestissant d’une manière moderne. Ce n’est pas de la copie, c’est de l’évocation. Quand j’ai fait mon disque avec Philippe Katerine, j’ai décontenancé les gens, concède-t-elle. Mais c’était plus parce que, pour la première fois, je chantais en français. Je suis américaine, après tout, le français est ma deuxième langue. » Son nouvel album a été enregistré avec le Hillbilly Moon Explosion, un quartet suisse qui explore et ressuscite – entre les Stray Cats (mais en moins virtuose) et Wanda Jackson (mais en plus jeune) – cette musique, un mélange de rock’n’roll, de country, de boogie-woogie et de western swing, qui enflamma l’Amérique du début des fifties, avant qu’Elvis ne vienne tout balayer.
« Ma rencontre avec les Hillbilly est une continuité. Nous avons fait connaissance à un concert en Suisse, réalisé tout de suite que nous aimions les mêmes choses et c’est ainsi que ce projet est né il y a deux ans et demi. Je ne sais pas pourquoi on s’étonne de mon parcours. Les cantatrices passent constamment d’une époque à l’autre quand elles chantent Wagner un soir et Puccini la semaine suivante. Ce projet est un revival où tout est original (il n’y a qu’une reprise), ici pas de copier-coller ou de vêtement de récup. C’est du rockabilly revu par Tarantino. C’est aussi la musique des rebelles. » Quand l’aventure rockabilly sera terminée, Arielle s’attaquera au rock gothique. Avec un maquillage façon Siouxsie, et des piercings partout ? Du fun en perspective !