Alien Crystal Palace, le film culte, en DVD !

Dès sa sortie en 2019, Alien Crystal Palace entre directement dans le cercle fermé des films cultes ! Retrouvez-le dès a présent en DVD !

Un film réalisé par Arielle Dombasle avec Nicolas Ker, Asia Argento, Michel Fau, Christian Louboutin, Ali Mahdavi et Thaddaeus Ropac.

« Un objet étonnant. Une oeuvre déjà culte. »

Les Inrocks

« Une tragédie musicale, baroque et narcotique. Le film le plus psychédélique de ce nouveau millénaire »

Technikart

« Fantaisiste et obscur. Sauvagement cultivé. A voir comme une fête. »

Libération

« Dans cette recherche de la fantasmagorie, cet Alien est le plus perché. Et donc une petite merveille. »

Transfuge

Un savant manipulateur d’âmes tente de recréer le couple idéal selon le mythe d’Aristophane, celui de l’androgyne cherchant inlassablement sa part manquante, l’amour parfait. Il a repéré de nouveaux sujets pour son expérience : Dolorès Rivers, romantique cinéaste underground, et son miroir inversé, Nicolas Atlante, chanteur de rock fou et vénéneux. Le magnétisme opère, le diable s’en mêle, les crimes se succèdent…

Bonus :

Achetez Alien Crystal Palace en DVD en cliquant ici !

Arielle Dombasle offre 10 000 € aux Chats de Stella à Vence (Nice Matin)

Marraine de l’association de Vence depuis deux décennies, la star lui a attribué la somme couronnant sa victoire à l’émission les Reines du Shopping, avec Cristina Cordula sur M6.

Arielle Dombasle en 2001 au refuge Les Chats de Stella

« Un immense et chaleureux merci à Arielle Dombasle ! Grâce à sa victoire aux Reines du shopping vendredi soir, nous remportons la somme de 10 000 euros ! Nous ne savons comment la remercier, cela va être une immense bouffée d’oxygène pour les Chats de Stella… Merci d’avoir pensé à nous, et de nous avoir représentés lors de cette compétition ! »

Depuis la diffusion de l’émission vendredi, et la publication de la nouvelle sur le Facebook de l’association vençoise de sauvegarde animale, les commentaires enthousiastes s’accumulent.

La star, qui a remporté avec son look de sirène la compétition arbitrée par Cristina Cordula avec Lio, Sylvie Tellier entre autres, n’a pas oublié qu’elle était marraine des Chats de Stella depuis des années. À l’époque où, avec Bernard Henri Levy, elle avait une maison à Saint-Paul-de-Vence, où ils se sont d’ailleurs mariés en 1993.

« ELLE AVAIT ADOPTÉ UN CHAT CHEZ NOUS »

« Elle était venue avec sa belle fille Justine Levy, adopter un chat » se rappelle Jeannine Hermann, à la présidence de l’association depuis 2007.

« En octobre, la secrétaire d’Arielle Dombasle nous a avertis qu’elle allait concourir pour nous, puisque les candidates le faisaient pour soutenir une association de leur choix. »

QUELLE DESTINATION SERA DONNÉE À CE LEGS INESPÉRÉ ?

« Le conseil d’administration tranchera, je vais lui proposer de l’affecter en investissement plutôt qu’en fonctionnement, et à la mise aux normes de notre réseau d’assainissement, ou à la réfection des clôtures puisque le refuge accueille près de 400 chats libres pour la majeure partie, sur 1,5 hectare à Vosgelade. »

UNE ANNÉE DIFFICILE

Lors des premier et deuxième confinements, les adoptions se sont terriblement raréfiées, d’autant que le refuge n’a que très tardivement, au printemps, été autorisé à rouvrir.

S’y est ajoutée l’inondation lors de la tempête Alex, ce qui fait que les bénévoles n’ont pas chômé pour nettoyer et remettre en état les 25 chalets qui hébergent les matous.

Les familles adoptives peuvent se procurer un chat (ou chatte) vacciné, stérilisé – ou avec un bon pour le faire, suivant l’âge de l’animal – pour moins de 200 euros. Les adhésions sont aussi possibles pour soutenir l’action des chats de Stella.

Contact au 06.23.21.60.39. et sur Facebook, Refuge Gireau les chats de Stella.
https://leschatsdestella.org/

L’appel de 200 personnalités de la culture qui veulent se faire vacciner

À l’initiative du comédien et metteur en scène Stanislas Nordey, Gérard Jugnot, Nagui, Grand Corps Malade, Zabou Breitman, Arielle Dombasle entre autres se disent prêts à montrer l’exemple en se faisant vacciner, dans un appel publié le 7 janvier dans Le Parisien. Un «acte citoyen» pour essayer de «sortir de l’impasse».

« Il faut sortir de cette situation mortifère »

Arielle Dombasle.

« Les artistes sont dans un état de désespoir insupportable. Tout ce qui peut leur permettre d’exercer à nouveau leur métier est à faire. Les théâtres, les salles de concerts, de cinéma sont des endroits essentiels. Tout ce qui peut contribuer à leur réouverture est à prendre. C’est pour ça que j’ai signé. Pour essayer de débloquer cette situation mortifère. » Je crois que c’est une solution. Peut-être pas LA solution, mais c’en est une. On ne va certainement pas obliger les gens qui ne veulent pas être vaccinés à le faire. Rien n’est imposé. Chacun est libre de croire et de faire ce qu’il veut par rapport à sa santé. De vivre, d’agir et de mourir comme il lui plaît. Je comprends tout. Je n’ai pas à juger les gens qui ne veulent pas être vaccinés. Moi, je le ferai. En même temps, je laisserai la priorité aux gens plus fragiles que moi. J’ai une immunité formidable. »

Interviewée depuis le plateau de BFM Story, Arielle Dombasle a réitéré sa volonté de se faire vacciner contre la COVID-19 dès que possible pour aider à endiguer la pandémie qui touche le monde entier depuis près de un an et met à mal bon nombre de secteurs économiques dont celui de culture.

Arielle Dombasle : « Il y a chez Cristina Cordula quelque chose de tellement solaire et gracieux » (Ouest France)

M6 diffuse la deuxième édition des « Reines du shopping spéciale célébrités », au profit d’associations, dès le lundi 4 janvier à 17h30.

Cinq personnalités participent à l’émission de Cristina Cordula cette semaine : Sylvie Tellier, Carine Galli, Lio, Séverine Ferrer et Arielle Dombasle. Cette dernière défend Les Chats de Stella, une association qui a pour mission de sauver, soigner et accueillir les chats domestiques abandonnés. La chanteuse et comédienne – dont on verra le shopping jeudi 7 janvier – revient sur cette expérience.

Pourquoi avoir accepté de participer à ces Reines du shopping spécial célébrités ?

Avant tout, j’aime beaucoup Cristina Cordula. Nous nous connaissons des Grosses têtes. Nous sommes toutes les deux d’Amérique Latine. Il y a chez elle quelque chose de tellement solaire, généreux et gracieux. Au début, quand elle m’a proposé de participer à l’émission, je n’avais pas trop envie. Elle m’a convaincue avec l’idée que nous jouons pour une association. En ce qui me concerne, il s’agit des Chats de Stella. C’est un refuge pour chats abandonnés dans le midi de la France, un refuge où on soigne les animaux, où on les stérilise et où ils sont prêts à l’adoption.

Qui vous a accompagné pour ce shopping sur le thème : « Osez la couleur en hiver » ?

J’étais toute seule. Je pense que d’une manière générale, c’est mieux parce que, dans le cas contraire, on risque aussi de choisir les mauvaises choses pour faire plaisir à la personne qui vous accompagne. On est plus fort seule d’une certaine façon !

Quelle était l’ambiance entre participantes ?

Très gaie, enjouée ! Il n’y avait pas du tout de rivalités entre nous. C’était plutôt sous le signe de l’amusement, de la légèreté et de la drôlerie dans la compétition.

Appréhendiez-vous les commentaires de Cristina Cordula sur votre tenue ?

Cristina est quelqu’un de très savant. J’ai lu ses livres sur les looks, sur les styles. Elle n’est pas du tout une fashion-victim. C’est quelqu’un de très pointu sur la manière de s’habiller, ce qui vous va, les proportions, le style. Donc j’étais curieuse et heureuse d’avoir son avis.

De façon générale, quel est votre rapport à la mode ?

Quand on est actrice, c’est un peu différent. On est très souvent entre les mains de costumières, d’habilleuses. J’aime beaucoup cela. C’est un plaisir qu’on a quand on joue des rôles pour entrer dans des personnages. Puis j’ai de grands amis couturiers. J’ai eu la chance d’être habillée par des gens merveilleux comme Jean-Paul Gaultier, Yves Saint Laurent, ou John Galliano.

Est-ce que vous vous reconnaissez quelques fashions faux pas par le passé ?

Bien sûr ! Comme j’ai vécu dix-huit ans au Mexique, j’ai quelques fois des goûts très exotiques. Et le fashion faux pas, ça me connaît, absolument. On dit souvent que je suis habillée de façon un peu trop extravagante. Mais, généralement, on est plus indulgent avec les actrices !

Avez-vous des projets ?

Je continue à tourner les clips d’Empire (Barclay/Mercury, Universal), mon album avec Nicolas Ker. On avait évidemment des concerts, mais tout est en suspens…

Découvrez Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle en duo avec Nicolas Ker :

Inclus le titre “Just Come Back Alive” :

Arielle Dombasle dans “Les Reines du Shopping”

À partir du lundi 4 janvier et toute la semaine, retrouvez Arielle Dombasle, Sylvie Tellier, Lio, Séverine Ferrer et Carine Galli dans “Les Reines du Shopping” pour une semaine spéciale célébrités au profit d’associations !

Chacune des candidates jouant pour tenter de gagner 10 000 EUR au profit d’une association, Arielle Dombasle a choisi de représenter Le Refuge Gireau-Les Chats de Stella dont elle est la marraine historique.

Les Chats de Stella a pour mission de sauver, de soigner, d’accueillir les chats domestiques abandonnés et les chats errants.

Retrouvez “Les Reines du Shopping spéciale célébrités au profit d’associations”, présenté par Cristina Cordula, du lundi 4 janvier au vendredi 8 janvier à 17h30 sur M6.

Arielle Dombasle dans 300 Chœurs pour les Fêtes (France 3)

Dans “300 Chœurs pour les fêtes”, Arielle Dombasle et Vincent Niclo interprètent en duo le titre “Somethin’ Stupid” rendu célèbre par Frank et Nancy Sinatra en 1967.

Arielle Dombasle et Vincent Niclo dans 300 Chœurs pour les Fêtes

Un duo à découvrir ci-dessous :

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, est déjà disponible !

Cliquez ici pour le commander sur Amazon !

Les Grosses Têtes : plus on est de filles, plus on rit !

Deux équipes de cinq filles s’affrontent sur les questions habituelles, mais aussi au cours de jeux et happenings, en présence de quelques séducteurs : Amir, Florent Peyre, Harry Roselmack, Pablo Mira, et Patrick Bruel. La fin d’année approchant, une voyante est également présente, pour lire l’avenir des “Grosses Têtes”, et donner ses prévisions très attendues pour 2021.

Une émission à revoir en intégralité en cliquant ici !

Regardez le nouveau clip, “Desdemona” !

L’Empire d’Arielle Dombasle et de Nicolas Ker n’a pas de fin . Il se poursuit aujourd’hui avec “Desdemona”, un clip rock et baroque dans lequel amour et jalousie sont les maîtres mots.

Desdemona :

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, déjà disponible !

Sortie du clip “The Palace of the Virgin Queen”

Après “Just Come Back Alive”, “Le Grand Hôtel”, “Humble Guy” et “Twin Kingdom Valley”, place à “The Palace of the Virgin Queen”, un mix extatique de pop (très 80s !), rock (glam) et d’électro.

C’est l’un des titres les plus débridés d’Empire, album unanimement salué en média comme l’un des plus surprenants et réussis d’une année où chacun est tenu de vivre, au mieux, en demi-teinte…

La chanson, comme l’album entier, évoque l’insoumission, la liberté sur fond de quête d’absolu, d’intensité. Une célébration disruptive et radicale du plaisir. Indispensable.

Extrait d’Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, déjà disponible !

La chanteuse iconique et le punk anachronique (Le Réveil Culturel)

Rencontre avec la comédienne et chanteuse Arielle Dombasle et l’auteur compositeur, Nicolas Ker, pour la sortie de leur album, Empire.

Tewfik Hakem s’entretient avec la comédienne et chanteuse Arielle Dombasle et l’auteur compositeur, chanteur, Nicolas Ker, à propos de la sortie de leur album, Empire (label Barclay-Mercury). Le duo était en concert, ce jeudi 17 septembre, à La Maroquinerie (à Paris).

Nicolas Ker

Le titre de l’album “Empire” a trait pour moi à Jim Morrison qui disait que notre réalité était un univers carcéral, et qu’il voulait en sortir. On s’est adapté l’un à l’autre, Arielle Dombasle et moi. Elle a une voix protéiforme. Je lui ai interdit d’utiliser sa voix de Conservatoire, pour utiliser plutôt une voix murmurée – une voix murmurée ou une voix de country.  C’est vrai que sur le chant, je n’écoute personne, je suis mon propre guide.

Arielle Dombasle

ll m’a dirigée, il voulait cette voix que j’avais. Ce qui s’est passé, c’est une inspiration de composition chez Nicolas, et l’idée aussi d’être accompagné de ses musiciens de toujours. “Le Grand Hôtel” est la seule chanson en français, le premier titre que Nicolas ait repris d’une chanson écrite jeune homme.

Nicolas Ker

J’ai eu du mal à faire ce disque, pour des problèmes de santé, avec des mois et des mois d’hospitalisation. Ça a été difficile. Aujourd’hui, j’ai l’impression d’être en convalescence, je recommence à vivre. En général, je tutoie les gens, c’est avec Arielle Dombasle que j’ai appris le vouvoiement.

Arielle Dombasle

Je viens d’une famille où l’on se vouvoyait. Le vous est une caresse, et tellement joli. 

” On a une voix, c’est comme des chevaux qu’il faut amadouer, et trouver les couleurs qui vont avec ” 

Je viens d’un parcours très classique avec le Conservatoire, où j’ai appris l’opéra, le bel Canto… Il y a une grande altérité entre Nicolas Ker et moi. Ce qui m’a attirée chez lui, c’est sa voix, bouleversante.  

Pour en savoir plus…

A voix nue, Arielle Dombasle, mai 2015

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker est déjà disponible !

Découvrez le clip de “Twin Kingdom Valley” !

Après “We Bleed for the Ocean”, “Just Come Back Alive”, “Le Grand Hôtel” et “Humble Guy”, découvrez “Twin Kingdom Valley”, le nouveau clip d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker.

Un clip réalisé par Arielle Dombasle, où la légende des sirènes rencontre l’une des plus belles ballades rock de la rentrée…

Extrait d’Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, déjà disponible !

Arielle Dombasle et Nicolas Ker seront en concert le 17 septembre à La Maroquinerie ! Cliquez ici pour réserver vos places !

Arielle Dombasle dans Buzz TV (Le Figaro)

Invitée du “Buzz TV”, la comédienne endosse l’un des rôles principaux de Trop jeune pour moi, ce lundi 31 août sur TF1.

L’amour peut foudroyer deux êtres issus de générations différentes, et les envoyer tout droit sur le sentier du bonheur. TF1 a décidé de défendre cette théorie dans une fiction intitulée Trop jeune pour moi , ce lundi 31 août, en première partie de soirée.

Dans ce téléfilm, Hélène de Fougerolles interprète une femme de 45 ans qui décide de tout plaquer du jour au lendemain après avoir découvert l’infidélité de son époux. Elle s’envole pour l’île Maurice afin de se consoler dans les bras de sa mère, aussi exubérante qu’égoïste, campée par Arielle Dombasle. Très vite, la quadragénaire au cœur brisé croise par hasard la route d’un jeune homme qui a 20 ans de moins qu’elle. «Elle est malheureuse et se retrouve tentée par ce garçon qui joue de la guitare. Si la tentation est si vive, il faut oser et aller vers l’amour», plaide Arielle Dombasle.

«Je souffre beaucoup de cette situation, de cette peur qui s’est installée»

Arielle Dombasle.

Cette douce romance dépeinte dans la fiction reste pourtant la cible de préjugés dans la réalité. De nombreux couples célèbres et anonymes essuient régulièrement moqueries et remarques inélégantes en lien avec la différence d’âge des deux partenaires, à l’image du président de la République Emmanuel Macron et son épouse, Brigitte Macron. «J’ai toujours trouvé cela absolument odieux. Réduire les femmes à leur âge est la chose la plus misogyne qui existe sur la planète! Qu’est-ce que ça peut foutre?», se demande avec effarement Arielle Dombasle sur le plateau du «Buzz TV» (voir vidéo ci-dessous).

Cette désapprobation qu’expriment certains détracteurs contre ces couples exaspère autant la comédienne que la sévérité des règles sanitaires imposées par les pouvoirs publics. Obligée de porter un masque lorsqu’elle se déplace, de respecter des mesures de distanciation physique, elle éprouve de nombreuses difficultés à se fondre dans cette société actuellement imbibée de gel hydroalcoolique. «Les rapports sont devenus insupportables. Tous ces zombies, tous ces gens masqués et muselés, cette crainte qui a envahi la planète, c’est nouveau. Je souffre beaucoup de cette situation, de cette peur qui s’est installée. Et puis cet hygiénisme, avec tous ces gens qui se contredisent…», regrette Arielle Dombasle, qui maintient son concert du 17 septembre à la Maroquinerie, à Paris.

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, est déjà disponible !

Arielle Dombasle et Nicolas Ker seront en concert le 17 septembre prochain à la Maroquinerie !

“Trop jeune pour moi” ce soir sur TF1 !

A 21h05 sur TF1, retrouvez Arielle Dombasle aux côtés d’Hélène de Fougerolles, Loyan Pons de Vier, Marysol Fertard et Terence Telle dans Trop Jeune pour moi, réalisé par Jérémy Minui !

Doria, la quarantaine, sent sa vie lui échapper. Son mari la trompe, sa fille prend son indépendance et au travail rien de va plus. Sur un coup de tête, elle décide de partir pour quelques jours chez sa mère qui vit à l’Ile Maurice. Là-bas, elle rencontre Théo. Avec lui, Doria redécouvre la vie, la joie, l’amour. Il est beau, drôle, libre. Et il a 20 ans de moins qu’elle. Quand la vie nous donne une seconde chance, jusqu’où faut-il aller pour la saisir ?

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, est déjà disponible !

Arielle Dombasle et Nicolas Ker seront en concert le 17 septembre prochain à la Maroquinerie !

Arielle Dombasle : “Je me sens protégée derrière mes looks” (Madame Figaro)

Arielle Dombasle bouscule son image et se transforme en skater pour Madame Figaro !

“Je me sens protégée derrière mes looks !”

Arielle Dombasle.

Pourquoi avoir choisi ce look ?

« Pour jouer le jeu, aller à l’opposé de mon image “princesse” avec cette allure de skateuse, un sport que j’aime beaucoup, mais que je ne pratique pas. Je trouvais cela fun. Je suis sûre que je ne resterais pas trente secondes sur le skateboard ! »

Quelle est la définition de votre style ?

« L’homme que j’aime n’apprécie pas trop quand je suis habillée en ballerine ou en patineuse, comme il dit. Je m’aperçois que j’arbore pourtant bien souvent ce genre de looks. Excentriques. Je crois que les hommes préfèrent un style sobre, élégant, genre tailleur strict, la discrétion en somme. Moi, je me sens protégée derrière mes looks. Le noir comme un bouclier, et souvent un petit col blanc d’écolière qui traverse les années. »

L’habit fait-il le moine ?

« Non, car il me semble que l’un des principes du féminin, c’est de se dérober, se cacher, se travestir, ne pas être révélée d’un coup d’œil, jouer avec les apparences trompeuses. Et puis surtout se divertir avec les manières de se vêtir. Comme nous toutes, non ? »

Découvrez les coulisses de la séance photo pour Madame Figaro :

Retrouvez Arielle Dombasle aux côtés de Zahia Dehar, Marina Hands, Zabou Breitman, ou encore Nora Hamzawi cette semaine dans Madame Figaro.

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle avec Nicolas Ker, est déjà disponible.

Arielle Dombasle et Nicolas Ker seront en concert le 17 septembre à La Maroquinerie, à Paris, avant une tournée dans toute la France.

Arielle Dombasle en couverture de Télé 7 Jours

Dès aujourd’hui en kiosque, retrouvez Arielle Dombasle en couverture de Télé 7 Jours (semaine du 8 au 14 août 2020).

Arielle Dombasle en couverture de Télé 7 Jours

Arielle Dombasle là où on ne l’attend pas. Qu’elle soit à l’affiche d’un unitaire pour TF1, sur scène pour une série de concerts ou sur le terrain pour protéger la nature, Arielle Dombasle ne finit jamais de nous surprendre… et elle est toujours au bon endroit ! Rencontre.  

Arielle Dombasle en couverture de Télé 7 Jours
Interview d'Arielle Dombasle dans Télé 7 Jours
Interview d'Arielle Dombasle dans Télé 7 Jours
Interview d'Arielle Dombasle dans Télé 7 Jours

Coup de Foudre à l’Île Maurice, diffusion à la rentrée sur TF1.

Pochette de l'album Empire d'Arielle Dombasle et Nicolas Ker

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker est déjà disponible !

Faites un geste simple : ramassez le plastique, #PickUpThePlastic !
Et postez votre geste en héros moderne qui sauve la planète ! #PickUpThePlastic

Les vacances qui ont changé ma vie (Le Figaro Magazine)

C’est un voyage dans la jungle mexicaine,sur le site maya de Tikal, où elle accompagnait son père archéologue, qui a donné à Arielle Dombasle le courage et l’envie de quitter les sentiers battus.

Elle n’était alors qu’une petite fille de bonne famille. Une Franco-Américaine installée au Mexique depuis que son grand-père, ambassadeur de France là-bas, avait transmis sa passion du pays à son père. Fou d’archéologie, ce dernier avait pris l’habitude d’embarquer avec lui ses deux enfants lors de ses expéditions pour forger leur caractère et développer leur curiosité. « Il y avait un côté «À la poursuite du diamant vert» à suivre, sur les sentiers cachés, ce groupe d’archéologues et de guides indiens. Ces expéditions étaient toujours aventureuses, extraordinairement intenses car nous découvrions des temples de civilisations précolombiennes qui n’étaient pas encore tout à fait connues ni explorées. C’était comme si, tout à coup, surgissaient de la jungle des pyramides, des bâtiments funéraires, des villes ensevelies qui étaient soudainement remises dans la lumière. C’était surréel! »

Mais celle à laquelle participa Arielle Dombasle à 10 ans pour découvrir le temple maya – encore peu exploré – de Tikal fut déterminante et le voyage initiatique pour plusieurs raisons. C’est, d’abord, lors de ce périple que la jeune Arielle apprit le courage. « Mon père tenait absolument à ce que je ne sois pas une petite blonde chétive et craintive, mais une vraie combattante. Ce voyage m’a appris à surmonter mes peurs, car la jungle, avec ses serpents et ses insectes affreux, terrifiait la fillette que j’étais. Je me souviendrai toujours d’une grotte dans laquelle, en entrant, nous avons fait fuir des milliers de chauves-souris qui frôlaient nos têtes en poussant des petits cris aigus fuyant vers l’extérieur. »

Par ailleurs, c’est au Mexique que la future artiste fut sensible, pour la première fois, aux merveilles de la nature. « J’ai découvert ce qu’il y a de plus beau au monde : le soleil se levant en même temps que toutes les créatures de la jungle sous le chant des oiseaux ou l’eau cristalline que l’on trouve dans les cénotes, ces cavités profondes, ces sources que les Mayas ont consolidées avant d’en faire des lieux sacrés par une succession de rituels mystérieux. » En plus d’être vécue comme un éblouissement (une qualité qu’elle saura garder toute sa vie), cette expédition a attisé son goût du mystérieux et de l’impénétrable. « Pour moi, c’était un peu comme l’Atlantide : marcher sur les traces d’une civilisation disparue. » Depuis, Arielle Dombasle l’avoue volontiers : même s’ils apportent tous quelque chose d’indéfinissable et de riche, elle aime l’idée qu’un voyage soit propice à la découverte de quelque chose d’extraordinaire. Mais si celui-ci a été fondateur, c’est parce qu’il lui inspira l’idée que pour s’ouvrir correctement au monde, il faut d’abord aller à la conquête de soi afin de déceler ses propres forces et ne pas avoir peur d’explorer.

« Dans le travail, j’aime prendre des risques et sortir des sentiers battus pour essayer d’échapper à toute forme de facilité ou de conformisme. » De quoi bâtir une carrière unique. Comédienne révélée par Éric Rohmer, meneuse de revue au Crazy Horse et à l’Opéra-Comique, muse, réalisatrice (Opium en 2013, Alien Crystal Palace en 2018), Arielle Dombasle est aussi une chanteuse audacieuse et inspirée qui vient de signer sa troisième collaboration avec le rockeur Nicolas Ker : un album, Empire, qu’elle voit comme « une invitation à repenser la réalité telle que nous la percevons à travers un condensé de rock aux accents gothiques » et une occasion d’affirmer son engagement pour l’écologie. Comme une nouvelle preuve que ce voyage aura fait d’elle une artiste polymorphe et accomplie, qui s’affranchit systématiquement des catégories qu’on essaie de lui imposer.

Empire, d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker (Barclay/Universal).

En concert à La Maroquinerie, Paris 20e, le 17 septembre.

Swagger and sway beneath a neon glare (Culture Catch)

Some albums are sublime confections. A perfect amalgam of style, poise and kookiness. One such venture is Empire the second explosion of songs from Nicolas Ker (Poni Hoax) and his muse Arielle Dombasle. At first sighting they are an unusual pairing, the French-Cambodian rocker and the respected actress/singer with the sultry voice and ghostly air. It shouldn’t work, but does, quite perfectly. If you like your pop intelligent, riven with references and old fashioned elegance, then this is the confection for you. Like a cross between Nick Cave/Leonard Cohen, Ker drawls and intones, and Dombasle evokes Marie Laforet/Vanessa Paradis in her vocal slinks and quivers. An elegance and wit is at large. Tongue in chic and shooting perfectly from the hip. Think Lee Hazlewood and Nancy Sinatra exiled from LA in the French rain. It would all fall asunder if Ker wasn’t such an astute creator and embroiderer of superb songs. The album, like many has been delayed because of the current world crisis, but has been well worth the wait and the anticipation, with the delicious confetti of videos to charm and insinuate an increased sense of desire. 

Arielle Dombasle sur la plage pour Paris Match

A perfect amalgam of style, poise and kookiness.

Proceedings launch with the jaunty “Humble Guy” a song that blends Ker’s dulcet tones with Dombasle’s piping and kittenish ease and a Sixties orchestration that suggests both London’s Carnaby Street and a neon drenched interlude in Paris.

A lyric about a sense of failure, but one imbued with a delightful air of flippant sadness.

“Twin Kingdom Valley” has a Kraftwerk reminiscent heartbeat motif and an air of louche decadence. A song of narcissistic trepidation, it twists effortlessly along and slowly fades away, whilst lingering and loitering long in the memory. “Desdemona” possesses a tremendously catchy marching band conceit that allows it to step along with a wonderful automaton inflection, as Ker’s voice underpins things like a officer barking out commands whilst Dombasle pouts and soars.

“Le Grand Hotel” stands as the sole French sung confection. A mix akin to Serge Gainsbourg and Jane Birkin, neatly underpinned by violin. Evocative moody and bewitching, and as Dombasle delivers an effortlessly wan vocal, Ker anchors the song with his distinctive lower register. A near perfect slice of wayward despair.

“Just Come Back Alive” contains a Giorgio Moroder-theme of European pop-disco textures, and a catchy hook, a catwalk sense of movement and odd riffs, before a subtle explosion of strings and drums, catchy and memorable it develops into an epic of almost cartoon-like proportions. 

A mixture of need, a plea, and a command. As assured as it is honest, and a curt expression of vulnerability.

“Lost Little Girl” has a sweet, deceptive melody that rises and builds like The Stranglers did at their best. A strident confident song that flows and swerves in decided counterpoint to the tone of the words. There is an annoyingly infectious Euro-pop nod and wink in “The Palace Of The Virgin Queen” but it is effectively reigned in by an almost Rammstein heaviness, but it could still ignite like wildfire with its sparks of catchiness. A creation that should be remixed into an addiction for the ears, in all its dark and light nursery rhyme-like glory. More than faintly bonkers it has a life of its own that suggests the influence of the late Klaus Nomi. 

An increased sense of desire.

The appropriately named “A Simple Life” is a mixture of Baroque folk and Francoise Hardy ’60’s elegance and shows what a refined instrument Dombasle’s voice is. It bridges a perfect quiet interlude in the midst of such stylised concision. Utterly beautiful, and with a timeless brevity, the piece glides and sways like a leaf falling in the breeze. 

Arielle Dombasle dans le clip "Le Grand Hôtel"

“Deconstruction Of The Bride” unleashes a manic industrial filmic soundscape, a nightmare that flies above tinkling stabs of piano. A gothic panorama of the mind with a plethora of descending chords, it throbs and rises, and falls to again soar. Melding the likes of Ministry with Nine Inch Nails it betrays the breadth of shade that the album houses, without ever jarring the tonal landscape of its varied proceedings.

An exquisite journey.

With “The Drowning Ocean” we are treated to a Glam-like piano fueled epic, akin to Mott The Hoople’s “All The Way From Memphis.” An accomplished partial pastiche that presents itself as forceful plea to treat the world with respect, a rock ballad of exquisite ache and accomplishment, it departs with a welling wealth of poignant orchestration. 

“Enter The Black Light” arrives like a subdued and smouldering piece of of mannered elegance. Prancing and preening in darkened majesty, this stands as a song haunted by Nick Cave’s restrained and tempered sense of pomp, as it slithers like a snake recoiling into darkness.

Finally “We Bleed For The Ocean” bewitches, an ethereal hymn for ecological sense, with a dirge-like beauty and Dombasle in the role of a warning siren. A fitting conclusion to a palette of finesse and splendid inspiration, and so the red velvet curtains, finally and quietly, swish together in conclusion.

Arielle Dombasle en sirènr pour la campagne #PickUpThePlastic

Albums like Empire are rare. The visions it contains are wide but perfectly reigned in, and breathing, living proof that artistry remains a force we should cherish and desire in a world increasingly engulfed by auto-cued mediocrity. Splendidly, unashamedly romantic and decadent, this is a work that transcends its European origins by being universally appealing. Ker has a knack for distinctive and accomplished song-craft and in Dombasle he has the perfect counterpoint of light to illuminate his darkening scores. The whole thing exerts a sense of manicured madness, but never veers off the edge, and if it does it brings the listener back. All part of the exquisite journey. 

Here is an album that reveres its ghosts with kindness. Listen and you’ll see them rise in their refined and haunting glory. And somewhere in the rain a blue neon sign crackles and dies.

Pochette de l'album Empire d'Arielle Dombasle et Nicolas Ker

Empire, Arielle Dombasle & Nicolas Ker’s latest album is out now !

Get your tickets for Arielle Dombasle & Nicolas Ker’s concert at La Maroquinerie (Paris, France) on September 17th !

L’Empire d’Arielle Dombasle (Nice Matin)

Après La Rivière Atlantique, Arielle Dombasle et Nicolas Ker poursuivent leurs manifestes esthétiques avec Empire. Un nouvel opus entre ombres et lumière, raffiné, porté par ce duo incandescent et plus que jamais dans le flow.

Rendez-vous est pris à La Colombe d’or (où une salade porte son nom !), lieu mythique et lié à sa légendaire histoire avec BHL, à Saint-Paul-de-Vence. Elle fait irruption dans le bar, longue liane toute de corail vêtue. Aussi gracieuse que dans le clip de We Bleed for the Ocean, l’un des titres de l’album Empire, où elle apparaît en sirène prise au piège dans les déchets plastique.

Un film réalisé par Arielle Dombasle elle-même, dans le cadre de la campagne #JeSauveUneSirène, Pick up the Plastic !, en soutien avec la Fondation Nicolas Hulot. Ce qui n’empêche pas Arielle, créature polymorphe, de se transformer en mannequin de celluloïd dans un autre clip, celui de Humble Guy.

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, déjà disponible !

Arielle Dombasle et Nicolas Ker seront en concert à La Maroquinerie le 17 septembre ! Cliquez ici pour réserver vos place !

Une promenade avec Arielle Dombasle (Le Monde)

Se promener dans Paris avec Arielle Dombasle, c’est plonger dans le monde imaginaire d’une fausse Barbie post-punk de bonne famille qui, depuis qu’en 1976 elle a revêtu la robe de Blanchefleur dans Perceval le Gallois, d’Eric Rohmer, est devenue à tout jamais la « pucelle blonde aux yeux bien fendus… » que réclamait le rôle. Elle s’en amuse : « Ce sont les mots mêmes de Chrétien de Troyes» N’était-elle pas dans le personnage depuis toujours ? Depuis qu’enfant sa grand-mère écrivait pour elle et son frère Gilbert mille aventures dont ils étaient les héros. Elle était Titania, il était Oberon. On ne quitte pas le monde du conte comme on veut.

Titania donc, la fée des bois, Arielle Sonnery pour l’état civil, Arielle Dombasle pour la postérité. Un elfe de 47 kg, six décennies au compteur, coquette en tout, sur son âge comme sur le reste (« J’aurais sans doute aimé être la Belle au bois dormant… J’aime l’idée d’être réveillée par un baiser. »), l’air épuisé sous le maquillage – mais qui ne le serait avec cette chaleur ? –, nous emmène à travers les rues de Saint-Germain-des-Prés. « Je me sens étrangère partout. Ça libère. »

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L’interview “comme un garçon” (Je Suis Musique)

L’une est blonde, solaire et pleine de vie, l’autre brun, ténébreux et autodestructeur. Aussi vrai que les contraires s’attirent, Arielle Dombasle et Nicolas Ker, le chanteur de Poni Hoax, étaient faits pour se rencontrer. A l’occasion de la naissance de leur deuxième album ensemble, « Empire », un disque addictif et envoûtant, qui flirte avec une noirceur néo-romantique et un Glam Rock hérités des années 80, sans pour autant sacrifier sa modernité futuriste, nous avons croisé la route de la sirène et de son dark mentor. Quittant les néons criards et les habits sexy de poupée gonflable arborés pour les besoins du clip « Humble Guy », Arielle s’est prêtée au jeu de l’interview « Comme un garçon », sous le regard amusé, silencieux et désabusé de Nicolas… Un grand moment !

– Arielle, étiez-vous « Garçon manqué » (La Maison Tellier) dans votre enfance ?

Arielle : Certes, j’étais bien obligée, notamment dans un pays extrêmement aventureux, le Mexique, avec un père qui ne voulait pas d’une petite blonde chétive, mais d’un petit soldat conquérant dans la jungle, les rivières, les volcans, les océans : je suis devenue une vraie casse-cou.   

– Jouiez-vous plutôt à « Toi le Cowboy, moi l’indien » (Zazie) ou « Barbie, tu pleures » (Lio) ?

« Barbie, tu pleures » de Lio, parce que depuis ma toute petite enfance, on me comparait toujours à la poupée Barbie : elle fut un idéal. Je la changeais 20 fois par jour, je lui coupais les cheveux et je l’emportais avec moi sous la mer.  

– Vous arrive-t-il de vous dire «Si j’étais un homme… » (Diane Tell) dans votre métier de chanteuse ? Dans quelles circonstances ?

Dans des circonstances énervantes, quand il y a des problèmes techniques et que j’aimerais me transformer en Cassius Clay aux muscles rutilants.

– Si vous étiez un homme justement, quel chanteur français serait votre modèle ?

Nicolas Ker . 

– Quel chanteur international ?

Nicolas Ker.  


– Feriez-vous un style de musique différent ?

Un style probablement pas, mais je m’incarnerais différemment c’est sûr. 

– Dans les 60’s, auriez-vous été davantage séduit par la sexy Sylvie (comme Johnny), ou la cérébrale Françoise (comme Jacques) ? 

Toutes les deux, assurément.

– Avec quelle chanteuse aimeriez-vous enregistrer un duo d’amour sulfureux comme «Je t’aime moi non plus » (Gainsbourg / Birkin) ?

Adèle, elle est si mignonne.  

– Dans la peau de Gainsbourg, quelle(s) actrice(s) actuelle(s) aimeriez-vous faire chanter ?

Lou de Laâge

 – Toujours dans la peau d’un homme, accepteriez-vous de vous déguiser en femme pour les besoins d’une pochette comme Gainsbarre sur « Love on The Beat » sans craindre pour votre image publique ?

Évidemment, j’adore les métamorphoses et les trans sont aujourd’hui les plus spectaculaires représentants de la culture Pop : je les adore !

– Si vous deviez faire une reprise jouant sur l’androgynie aujourd’hui, plutôt « Comme un garçon » (Sylvie Vartan) ou « Sans contrefaçon » (Mylène Farmer) ?

Idem, un peu des deux.

– Et dans la peau d’un séducteur, plutôt « Femme des années 80 » (Michel Sardou) ou « Femmes, femmes, femmes » (Serge Lama) ?

« Et Dieu créa la femme », Bardot, coquillages et crustacés… 

– Plutôt « Un homme heureux » (William Sheller) ou « Un homme debout » (Claudio Capéo) ?

Plutôt un homme malheureux couché…

– Au registre gay friendly, plutôt « Comme ils disent » (Charles Aznavour) ou « Kid » (Eddy de Pretto) ?

Eddy de Pretto, je suis great fan.

– Si vous deviez chanter « Je suis un homme », ce serait la chanson de Polnareff ou celle éponyme de Zazie ?

Je chanterais je suis un homme, je suis une femme… j’hésite.

– Quelles devraient être les qualités de la femme idéale ? Plutôt « je serai douce » (Barbara) ou « Libertine » (Mylène Farmer) ?

Idem, les deux à la fois, douce et libertine.

– Quel type de femme n’aurait aucune chance de vous séduire ?

Une femme qui serait un gros mammouth, velue et sans aucune qualité féminine.

– Accepteriez-vous d’être un homme au foyer, si votre compagne était artiste, par exemple ?

Au foyer ? Certainement, dans un lit avec elle.

– Epouseriez-vous sans problème une femme de 20 ans votre cadette, comme beaucoup de Rockstars ?

 Évidemment, no problem what so ever.

– Et de 20 ans votre aînée ?

No problem what so ever.

Arielle Dombasle & Nicolas Ker par Charlélie Marangé

– Quelle est, selon vous, la plus belle déclaration d’amour, jamais chantée par un homme ?

« Twin Kingdom Valley ».

– Quelle chanson d’homme est « la chanson de votre vie » ?

« Stop in the name of love » de Diana Ross.

– Celle que vous trouvez inchantable par une femme ?

« (I can’t get no) Satisfaction », The Rolling Stones.

– Question subsidiaire : dans la peau d’un garçon, que diriez-vous à Arielle, pour la séduire ?

For ever yours…

Nicolas : Et c’est en cela que vous êtes une femme…  

Propos recueillis par Eric Chemouny

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La malle aux trésors d’Arielle Dombasle (Gala)

Il y a du fantastique en elle. Et quand elle parle de son enfance, de son homme, de son univers, c’est toujours un voyage inattendu.

Pour quelqu’un qui hisse la liberté en vertu cardinale, le confinement fut un “enfermement”. L’éloignement et la méfiance vis-à-vis de ces autres qui lui sont si essentiels, une “dévastation”. Une cage, même dorée, reste une cage. Mais une fois la porte entrebâillée, Arielle s’est aussitôt faufilée avec cette allure évaporée qui n’est somme toute qu’une façon d’être au monde, une forme de politesse qui cache bien des fêlures…

Retrouvez l’interview d’Arielle Dombasle en intégralité dans le dernier numéro de Gala.

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Arielle Dombasle chante pour le Sidaction 2020

A l’occasion du Sidaction 2020 et pour soutenir la lute contre le VIH/sida, Arielle Dombasle a incarné Evita et interprété le titre “Don’t Cry for me Argentina”.

Une prestation à découvrir ci-dessous :

Arielle Dombasle, une sirène pour la planète (Paris Match)

Artiste polymorphe, la chanteuse à la voix de cristal dévoile un nouvel album en duo avec Nicolas Ker, Empire. Un bijou rock aux accents gothiques. L’occasion pour notre héroïne d’affirmer son engagement pour la protection des océans. Des bords de l’Atlantique à son appartement parisien : balades et confidences.

Une interview à retrouver cette semaine dans Paris Match.

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Il est interdit d’être vieux (Judaïques FM)

Emmanuel Aumonier reçoit Arielle Dombasle pour la sortie de son nouvel album Empire dans l’émission “Il est interdit d’être vieux” sur Judaïques FM.

Une émission à réécouter ci-dessous :

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Le chant envoûtant d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker (Le Point)

Le duo bizarre et fascinant est de retour avec un deuxième album rock et baroque captivant. Rencontre avec deux artistes, sans limites.

Arielle Dombasle & Nicolas Ker par Charlélie Marangé

En janvier, l’actrice et chanteuse Arielle Dombasle a fait le buzz en enfilant sa queue de poisson pour rejoindre quelques ensorceleuses au fond des mers et chanter « We Bleed for the Ocean », avant de périr étouffée avec de la Cellophane. Ce clip choc viral annonçait la sortie de son nouvel album Empire, écrit et composé avec Nicolas Ker, le chanteur sombre de Poni Hoax, sa nouvelle âme sœur musicale, avec qui elle avait déjà sorti un album punk rock (le duo en avait interprété un extrait sur le toit du Point Pop) et imaginé le film gothico-fantastique Alien Crystal Palace. Inspiré par Philip K. Dick, David Bowie, Jim Morrison et Nick Cave, cet opus est le produit d’une alliance bizarre rock et baroque. La production est fine, à la fois nostalgique et futuriste, avec des cordes qui font rêver, des guitares qui semblent résonner depuis les années 1970 et des beats néoélectroniques. La voix de Dombasle monte haut retrouver celle de Ker qui chute dans les graves, mariage poétique fragile, humain, émouvant. Leur Empire, c’est Malkuth, le monde matériel, « le stade ultime de la forme dense et palpable, le lieu où force et forme se dégradent et se rompent », explique Ker, poète maudit qui se noie dans l’alcool et l’autodestruction. Dans leur dernier clip, « Humble Guy », ils explorent ce concept à fond. Lors d’une déambulation nocturne de Nicolas, la peau d’Arielle se fait plastique, elle se transforme en poupée gonflable sexy. Captivant. Rencontre avec deux artistes, sans limites.

Le Point Pop : Enfant déjà, La Petite Sirène était votre conte préféré ?

Arielle Dombasle : C’est LE conte initiateur. Il fait beaucoup pleurer les petites filles, qui s’identifient toutes à elle. C’est une figure mythologique qui cristallise quelque chose de très fort, avec cette idée aussi que pour plaire aux êtres humains, et notamment aux hommes, il faut sortir de son règne pour aller dans un autre règne et en souffrir. C’est tellement beau.

Nicolas Ker : Les sirènes sont dangereuses. Dans L’Odyssée, le chant des sirènes pousse les hommes à la mort.

Quel chant vous fait cet effet ?

N. K. : « All Tomorrow’s Parties » du Velvet Underground est totalement hypnotique. J’ai l’impression qu’elle vient de l’antiquité sumérienne ! Une sorte de rituel de la lune.

A. D. : Le principe de la musique est un envoûtement extrêmement secret et mystérieux. Pourquoi une série de notes vous met dans un état d’aussi grande émotion et bouleversement ? Quand les gens pensent à leur existence, ils ont des moments musicaux en tête. La musique, comme dit Nietzsche, nous met au-dessus des êtres et nous pousse vers les cieux. Avec le chant, qui est par définition enchanteur, on arrive à toucher. C’est à la fois une plainte et une prière.

Nicolas Ker, votre premier album avec Arielle, La Rivière Atlantique, avait quelque chose d’océanique. L’eau est toujours un élément important dans l’atmosphère musicale que vous avez voulu créer dans Empire ?

N. K. : En général, les musiques me viennent entièrement dans la tête. Je ne les compose pas, elles tombent du ciel, entières. Arielle me donne une fréquence, par exemple balalaiki pour « We Bleed for the Ocean », et j’essaie de me brancher dessus. J’entends toutes les variations. Je me sens au service des chansons qui tiennent à naître, plutôt que leur artisan. Elles sont différentes de moi. C’est un processus assez mystérieux finalement.

Arielle Dombasle, si vous étiez un élément, ce serait l’eau ?

A. D. : Absolument. D’abord, on naît dans le liquide amniotique : notre première existence est totalement aquatique. Notre espèce serait peut-être même née dans l’eau d’après certains scientifiques, mais sans aller aussi loin (rires), j’ai grandi au Mexique, un pays bordé par l’Atlantique et le Pacifique, des rivières et des lacs. Très tôt, j’adorais l’eau et nager. J’ai même été championne de natation sur le dos au lycée. Si je mettais bout à bout tous les moments que j’ai passés dans l’eau, ce serait au moins 5 ans en continu. Je me suis aperçue de la transformation des lacs et océans ces 10 dernières années et j’ai voulu agir en faisant ce film et cette musique, utiliser la métaphore, pour sensibiliser les êtres à cet immense problème.

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Arielle Dombasle & Nicolas Ker dans Basique (France 2)

Pour Basique, sur France 2, Arielle Dombasle et Nicolas Ker parlent du jour de leur rencontre et de leur nouvel album Empire !

Le jour de leur rencontre :

Découvrez leur nouvel album Empire :

Découvrez les 3 bonnes raisons d’écouter Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et de Nicolas Ker :

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Arielle Dombasle dans Les Enfants de la Télé (France 2)

Dimanche dernier, Arielle Dombasle était l’invitée de Laurent Ruquier sur France 2 dans Les Enfants de la Télé pour la promotion d’Empire, son nouvel album en duo avec Nicolas Ker.

Une émission à revoir en intégralité sur le site de France 2 ou en cliquant ici.

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Arielle Dombasle et Nicolas Ker, “Empire” aux frontières pop (AFP)

Quand deux ovnis partagent un plan de vol: Arielle Dombasle et Nicolas Ker, ex-leader de Poni Hoax, conjuguent leurs voix et leur univers singulier sur un nouvel album, “Empire”, aux belles coutures pop.

Le dernier single, “Humble Guy”, aux ourlets seventies, est assorti d’un clip dans Pigalle la nuit, lui déambulant dans la rue et elle dans la vitrine d’un sex-shop où se reflètent des néons-paroles de la chanson.

Le making-of de la vidéo, réalisée pendant le confinement – dans une “configuration surréaliste, Dada, avec cette ville fermée” comme elle le dit – vaut le détour.

“J’ai fait visiter Pigalle à Arielle, elle était fascinée par les sex-shops, mais tout était fermé la nuit. Elle est revenue toute seule le lendemain”, raconte-t-il à l’AFP, aux côtés de la diva. Lui dans le canapé, elle assise sur la moquette d’un palace parisien, clin d’œil à un de leur titre, “Le Grand Hôtel”.

“Il y avait juste un vieux libidineux dans une échoppe de lingerie ouverte, décrit-elle. Heureusement il ne m’a pas reconnue (rires). Il me disait: “Tu t’appelles comment? Viens je vais te montrer les corsets” (rires). J’étais vraiment la seule cliente et ce type ne faisait que de me pincer le bras (rires). Je lui ai dit +je m’appelle Candy+ (rires)”. “Un vieux nom d’escorte !”, s’esclaffe-t-il.

“J’ai beaucoup désobéi”

“Il y avait ce vêtement en vitrine, avec ce mannequin qui me ressemblait, enchaîne-t-elle. Je voulais surtout l’étiquette du vêtement pour le clip, le type devait se demander “mais c’est quoi son trip?” (rires). Il était super bougon (rires). Bon finalement, il m’a jeté l’étiquette (rires)”.

Les deux artistes se vouvoient, alors qu’ils en sont à leur deuxième album et ont aussi un film en commun. Toujours aussi inclassables. “J’ai beaucoup désobéi pendant le confinement, je me suis promenée la nuit dans les parcs fermés”, lâche-t-elle. Et travailler en studio avec lui – survivant d’une existence totalement rock’n’roll – c’est comment? “Nicolas est défoncé ou “available” (disponible en anglais), rigole-t-elle. On fait avec”.

Leur association n’étonne pas Matthieu Culleron, auteur d’un fabuleux documentaire sur une tournée tout en excès de Poni Hoax, “Drunk In The House Of Lords”. “Leurs comportements ne sont pas en rapport avec les canons médiatiques. Mais ils partagent beaucoup de choses. Nicolas a ce côté punk, mais aussi ce côté cultivé, savant”, dépeint le journaliste pour l’AFP.

“Soyez dans le miroir”

A elle la mise en images, à lui texte et musique, ainsi que l’équilibre à trouver entre leurs voix. “Je ne voulais pas qu’Arielle sonne de façon lyrique, je lui disais: “vous poussez trop, soyez dans le miroir. Sauf pour le chant élisabéthain sur ‘A Simple Life'”.

L’album, sorti ce vendredi (chez Barclay/Universal), a de belles pièces dans sa collection, comme “Le Grand Hôtel” – la seule en français, les autres sont en anglais – et “Lost Little Street Girl”. “Une amie m’a dit +toutes les jeunes parisiennes peuvent se sentir concernées+, commente-t-il. C’est la magie de la pop, un texte universel. Mais en fait je parle de ma chatte, Mina, que j’avais recueillie dans la rue, elle léchait un pot de yaourt vide sous une voiture et le mec du kébab en face voulait la chasser (rires)”.

L’animal inspire deux autres morceaux, “The Palace Of The Virgin Queen” et “A Simple Life”. “Quand elle dormait trop, je lui mettais du metal, bon après elle venait me faire chier aussi”, conclut-il dans un grand rire.

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Rencontre avec Arielle Dombasle & Nicolas Ker (La Parisienne Life)

Rencontre avec Arielle Dombasle et Nicolas Ker pour la sortie de leur nouvel album Empire.

« Empire » est votre second album commun après « La Rivière Atlantique » paru en 2016, ce nouveau disque a-t-il été une évidence ?

Nicolas : Oui, plus ou moins même si à la base, je devais le faire seul. Je me souviens qu’à un moment, je n’arrivais plus à faire ce disque sur lequel je travaillais en même temps que « La Rivière Atlantique » et une fois cet album sorti, je me suis dit que j’allais demander à Arielle, que ça marcherait peut-être et ça a été le cas.

Comment voyez-vous cet empire qui donne son nom à votre nouveau disque ?

N : C’est notre vie commune envisagée comme un processus carcéral car nous sommes tous enfermés en prison. Si nous montons un peu au niveau de notre conscience, nous pouvons peut-être éviter l’enferment de notre corps mais pour l’instant, je ne vois personne y arriver vraiment.

Arielle : Et surtout pas Nicolas qui est sous l’empire des addictions. Son corps est une prison.

N : J’ai des fantasmes et des addictions qui font que je reste en empire car je suis encore puni.

Comment compareriez-vous les atmosphères de ces deux albums ?

N : Ces deux albums sont très différents. « La Rivière Atlantique » faisait référence à un passage de la vie d’Arielle.

A : Et ce disque était basé également sur l’idée d’une civilisation disparue ; l’Atlantide, de manière métaphorique ; et sur tous les courants de la mer qui nous mènent ainsi que sur les nouvelles vagues et sur les grandes forces à l’intérieur des océans comme ces fleuves qui continuent leur parcours à l’intérieur des grandes masses d’eau. Ce mouvement au milieu de l’eau est toujours assez magique. « La Rivière Atlantique » était donc très océanique alors qu’« Empire » est pour moi un empire très céleste même s’il est plus un enfermement dans le monde matériel et dans son corps pour Nicolas.

N : Pour moi, les arbres font vraiment partie de l’empire alors que cette rivière Atlantique était vraiment fait de vagues.

Musicalement parlant, « Empire » s’inscrit-il dans la lignée de son prédécesseur ?

N : Je ne trouve pas. Pour moi, « Empire » est plus sylphide, floral et féminin.

A : « The Palace Of The Virgin Queen » est une chanson proprement féminine même si Nicolas l’a écrit parce qu’il jouait avec sa chatte qui s’amusait à lui jouer des tours.

Ce nouveau disque a-t-il été pensé comme une « histoire » ?

N : Trois chansons se suivent et racontent la vie de ma chatte dans cet album. « Lost Little Street Girl » raconte comment j’ai trouvé ma chatte en train de lécher un pot de yaourt sur un camion sous la pluie et que je l’ai prise dans mes bras pour la sauver. Ensuite, elle n’est pas sortie de derrière le placard pendant trois jours. « The Palace Of The Virgin Queen » qui aborde le fait qu’elle était devenue la reine absolue de la maison. « A Simple Life » aborde son âge car elle avait 21 ans et je lui dis qu’elle a finalement vécu une vie simple.

: Une vie très simple auprès d’un rockeur qui lui met du Hard-Rock toute la journée. C’est une petite chatte qui a eu l’adoration de son maître et c’était l’inspiration secrète de ces trois morceaux.

Quels autres thèmes retrouvons-nous dans vos nouvelles chansons ?

: Outre la vie de Mina, cet album parle de l’empire de la survie car Nicolas a passé beaucoup de temps ces deux dernières années dans les hôpitaux dans des phases de rehab. Je trouve que c’est très beau de se dire que même dans un état tout à fait grave, on continue à être inspiré et à faire des choses.

N : Écrire, cela va toujours très vite mais ce disque a été très dur à composer. Les thèmes d’« Empire » sont assez épars. Comme j’étais à l’hôpital, j’ai regroupé beaucoup de chansons écrites pour certaines il y a 15 ans. Je vais faire un prochain album en français et là, pour le coup, le propos sera ultra clair. Il y aura un procédé narratif. Pour moi, « Empire » parle de tout.

« Just Come Back Alive » qui a été imaginé bien avant la sombre période que nous traversons tous actuellement a-t-il pris un autre sens pour vous ces derniers mois ?

: Beaucoup de personnes ont perçu ce titre comme un morceau prémonitoire.

N : En fait, je me disais que je faisais des conneries mais qu’il fallait au moins que j’en revienne vivant.

A : Dans ces temps où nous avons tous été inquiets pour le monde entier, où les gens mouraient globalement et simultanément, « Just Come Back Alive » a été la prière que nous avons tous fait secrètement pour les gens que l’on aime. Ne soyez pas emportés, pas cette fois.

: Personnellement, je vois toujours cette chanson comme quelque chose d’écrit à moi-même. Comme un mantra. Reviens juste vivant. C’était déjà comme cela à l’époque mais avec le Coronavirus, ça a rajouté une strate qui est intéressante. C’est une coïncidence saisissante. 

A : Comme Nicolas est un peu sorcier et un peu shaman, nous l’expliquons ainsi.

Au niveau de l’interprétation, comment chacun trouve-t-il sa place ?

N : C’est moi qui gueule ! Comme Gainsbourg avec Birkin.

A : Ce qu’aime Nicolas chez moi, ce n’est pas la chanteuse lyrique sauf pour les chœurs, il aime la chanteuse mezzo-voce.

« Empire » a quelque chose de très cinématographique ; Arielle réalisant également des clips et des films, avez-vous pensé à mettre tout ce disque en images en suivant un scénario ?

A : Oui, bien sûr.

N : Ça aurait même pu mieux marcher sur « La Rivière Atlantique » mais nous l’avons fait après avec « Alien Crystal Palace ». Pour « Empire », Arielle voit un clip par chanson. Elle y pense tout le temps à cette idée de film.

A : Un cosmos lié aux harmonies, à nos voix, à l’histoire inconsciente qui est dans chaque morceau.

N : Pour les clips, Arielle me demande encore plus de précisions sur ce que j’ai voulu dire et je n’aime pas donner des explications !

A : Pour le clip de « Humble Guy », il fallait que je cerne de quelle humilité Nicolas parlait car l’humilité est une vertu extraordinaire et je voulais être précise pour ne pas trahir l’essence même de cette chanson.

: Pour moi, ces humble guys sont les êtres politiques les plus humbles qui se sont faits éclatés à coups de dague. Je pense notamment à Mendès France, Delort, Rocard, Ayrault

Pouvez-vous nous en dire plus sur le bonus track « We Bleed For The Ocean » ?

A : « We Bleed For The Ocean » est un très beau titre composé par Nicolas et j’ai pris cet hymne océanique pour illustrer quelque chose qui me tient toujours très à cœur. Je suis quelqu’un de très écolo et de très sensible à toutes les créatures qui peuplent la planète depuis mon enfance au Mexique. Je ne supporte par la souffrance animale ni la laideur massacrante de l’espèce humaine envers toutes les autres créatures de la Terre. « We Bleed For The Ocean » est un morceau pour dire qu’il faut sauvegarder et rétablir tout l’écosystème des océans.

N : Au départ, j’avais écrit ce titre pour parler de la menstruation et pour parler plutôt de féminisme mais ensuite, Arielle a donné une autre dimension à cette chanson.

Qu’est-ce que chacun mettrait en avant chez l’autre ?

N & A : Tout !

A : Nous sommes des opposés mais nous créons un vrai magnétisme. Il y a une vraie altérité chez nous. C’est comme en musique, les contrepoints ; ce sont les notes en harmonique qui créent l’harmonie.

Seriez-vous déjà partants pour un troisième acte musical conjoint ?

N : Pour l’instant, j’aimerais faire un album tout seul en français mais nous sommes sur la piste d’un film.

A : Et ce film serait très musical.

N : Il y aura donc, de toute manière, une bande originale de ce film.

Malgré les incertitudes actuelles, pensez-vous quand même au live pour défendre « Empire » sur scène ?

N : Bien sûr ! Nous n’avons qu’à faire trois fois une salle de 500 plutôt qu’une fois une salle de 1500.

A : Nous allons commencer comme cela. Un concert à La Maroquinerie est prévu le 17 septembre.

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, déjà disponible !

Arielle Dombasle et Nicolas Ker seront en concert à La Maroquinerie le 17 septembre ! Cliquez ici pour réserver vos place !

Arielle Dombasle dans Passage des Arts (France 5)

Comédienne, chanteuse, réalisatrice, Arielle Dombasle a plus d’une corde à son arc. Cette artiste allie la folie et la grâce, pouvant passer d’un film d’Yves Robert à un film populaire, d’une chanson lyrique à une chanson rock, sans perdre ce qui la caractérise. 

Elle revient pour une nouvelle collaboration avec l’un des derniers punks français Nicolas Ker pour l’album Empire, dans lequel ces deux ovnis de la musique mêlent culture et underground. 

Une émission à retrouver en intégralité sur le site de France Télévisions ou en cliquant ici.

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