Pour son 5ème film, Arielle Dombasle a choisit d’adapter la nouvelle d’Honoré de Balzac sortie dans le journal « La Presse » en 1839. La réalisatrice et actrice se confie sur le déroulé du tournage : « Il a été diaboliquement difficile, il faut des forces surhumaines pour faire un film en costumes. J’étais à la fois le petit gars à casquette qui courrait dans tous les sens pour orchestrer le tout et au dernier moment, je mettais mes atours pour incarner la princesse. C’était un tournage très compliqué et très lourd. Heureusement, nous avons été très vigilants dans le choix de tous nos partenaires. » Le compositeur Luc Rougy nous explique son travail sur le film : « Arielle nous a envoyé le scénario et on a réfléchi, on a dû livrer les musiques de ballet en juillet 2022 ».
Le tournage a eu lieu quasiment intégralement dans le département de l’Eure entre le 19 septembre et le 18 octobre 2022. Parmi les lieux, on peut citer le Lac de Brionne, la Château de Beaumesnil, Lyons-la-Forêt ou encore le Château du Champ de Bataille à Sainte-Opportune-du-Bosc où plusieurs pièces ont été aménagées pour cette occasion. Arielle Dombasle a choisi ce lieu car l’un de ses amis est le propriétaire du château, c’est la première fois qu’un tournage avait lieu dans cette bâtisse.
Sophistiquée et rock’n’roll. Pour Arielle, c’est tout un art, qu’elle conjugue avec celui d’être toujours elle-même. Affectée sans se prendre au sérieux. Inclassable. Entourée d’une équipe d’inconditionnels, la chanteuse, actrice, cinéaste met en scène son cinquième film : « Les Secrets de la princesse de Cadignan », inspiré d’une nouvelle de Balzac. L’héroïne, qu’elle incarne, pourrait bien lui ressembler. Pour cette femme étonnamment libre du Paris de la Restauration, l’amour vaut tous les mensonges. Séduire, c’est mystifier… L’actrice a su apprécier.
Retrouvez l’entretien d’Arielle Dombasle par Simon Liberati dans le dernier numéro de Paris Match.
« Les Secrets de la princesse de Cadignan », actuellement au cinéma !
Pour la sortie au cinéma de son cinquième long-métrage, « Les Secrets de la princesse de Cadignan », Arielle Dombasle est en couverture du numéro de septembre du magazine Technikart.
Arielle Dombasle, réalisatrice Balzaco-pop.
« Moi, une excentrique ? Je suis concentrique au contraire ! »
Belle surprise que ce petit film sans budget qui parvient à restituer l’univers balzacien grâce aux costumes (sublimes) de Vincent Darré et aux décors imposants (le film a été tourné au château du Champ de Bataille, appartenant au décorateur Jacques Garcia). Arielle Dombasle y incarne la princesse de Cadignan, grande séductrice qui croque les hommes et les fortunes sans jamais tomber amoureuse elle-même. Un portrait féministe, dirait-on aujourd’hui, tiré d’une délicieuse et subtile nouvelle de Balzac, où les amants de ce don Juan en jupon ont pour nom Rastignac ou Lucien de Rubempré. Entourée d’amis comme Julie Depardieu, Cédric Kahn ou Michel Fau (parfait en Honoré de Balzac), Arielle Dombasle en tire un récit émouvant, en mêlant habilement histoire et modernité, avec un bal final qui ressemble à une soirée au Palace des années 1980.
C’est à l’occasion de la sortie en salle du film « Les Secrets de la princesse de Cadignan », qu’Arielle Dombasle était l’invitée culture du « 23h Info » de Franceinfo TV. Répondant aux questions d’Isabelle Layer, Arielle Dombasle a présenté le film qu’elle réalise et dans lequel elle tient le rôle principal aux côtés de Julie Depardieu, Michel Fau, Stanislas Merhar, Andy Gillet, Nicolas Herman ou encore Théo Cholbi. Un entretien à retrouver en intégralité ci-dessous :
Arielle Dombasle signe une fresque sinon une comédie humaine spectaculaire, avec des décors magnifiques, une orchestration très musicale avec des artistes polymorphes, un film choral ponctué de scènes d’opéra, de ballets, de châteaux, de jardins. Ce film est l’occasion de formuler une symbiose artistique avec l’œuvre, l’écriture naturaliste de Balzac et de partager son féminisme de la première heure. Une déclaration d’amour adressée au plus grand écrivain du XIXe siècle pour avoir observé, à sa manière, la psychologie féminine et le paradoxe des êtres dans sa globalité.
Le féminisme de Balzac
Ce qui ressort le plus du film, c’est le féminisme de Balzac. C’est ce qu’on voit dans son cinquième et nouveau film comme réalisatrice où elle joue le rôle principal. Celui de cette princesse, dont l’histoire est tirée d’une nouvelle de Balzac, « Une princesse parisienne » intégrée en 1839 dans La Comédie humaine. À la fois sérieuse et frivole, cette princesse est une ancienne grande courtisane au tableau de chasse interminable, qui s’est jouée avec une très grande intelligence des hommes. Balzac partage à travers elle son féminisme romanesque. Il s’agissait, à travers ce film, de ne faire qu’un entre le présent et le féminisme de Balzac qui écrivait d’elle qu’elle tenait à ne ressembler à personne, qu’elle se créait des rôles, des robes, des opinions qui n’appartenaient qu’à elle : « C’est un personnage immense à interpréter. Ce qui me lie à elle, c’est son aspect combattant, le regard que Balzac porte sur cette femme qui est, pour l’époque, une diablesse et qui prend des libertés indécentes pour avoir exploité le terrain de la séduction. Dans le film, on découvre combien Balzac a réalisé un portrait de femme d’une grande modernité tant il s’est lui-même penché sur la condition des femmes au XIXᵉ siècle de manière absolument brillante et foudroyante« .
Avec Les Secrets de la princesse de Cadignan,Arielle Dombasle signe sa cinquième réalisation. L’artiste a tiré de cette nouvelle de Balzac un film qui dépeint librement la condition féminine, abordant des questions liées à l’âge, l’amour, la séduction, le pouvoir. Chez elle, la princesse devient une héroïne féministe.
Mon actu ? Arielle Dombasle.- La sortie de mon film, inspiré d’une nouvelle d’Honoré de Balzac parue en feuilleton en 1839 dans le journal La Presse, puis dans La Comédie humaine, adaptée ici par Jacques Fieschi , qui réunit au casting Julie Depardieu, Michel Fau, Stanislas Merhar, Cédric Kahn… Ce qui est étonnant dans la vie de Balzac, c’est qu’il a été révélé, littéralement sauvé, par les femmes : Laure de Berny, son premier amour (il avait 22 ans, elle, le double), la duchesse de Castries, la comtesse Hanska, qu’il épousa six mois avant de mourir, des aristocrates éclairées, lettrées, souvent plus âgées que lui. Toutes, à leur manière, ont contribué à le faire éclore, écrire, et l’ont amené à dépeindre la condition féminine et sa libération.
En quoi je me sens proche du personnage de la princesse de Cadignan ?
Je ne me sens pas proche, je l’estime ! Elle est dépeinte par Balzac comme un vrai «don Juan femelle». Rebelle, diabolique, séductrice, avec un visage d’ange. La princesse de Cadignan appartient à cette lignée d’héroïnes qui ont eu l’audace de s’émanciper, qui ont pris le risque de sortir de la cage, de la briser, de s’éloigner des destins tout tracés que la société de l’époque leur imposait. C’est un esprit libre, une audacieuse, une combattante.
Je ne suis pas une femme fatale. J’ai si peu d’expérience, finalement
Arielle Dombasle
Ce que j’aime qu’on dise de moi ?
Tout. Il faut accepter les règles du jeu. Nous autres, les artistes, sommes sous une grosse loupe qui amplifie tous les faits, les gestes, les moindres mouvements de notre vie… Moi, je le suppose, j’intrigue sans doute les gens parce que je suis restée une jeune fille : je n’ai pas eu d’enfant et n’ai jamais voulu en avoir. La loi de la nature pour les femmes, c’est d’en avoir. C’est ainsi depuis toujours. Je me sens plus créatrice que procréatrice.
Le sujet qui me met hors de moi ?
La brutalité du monde.
Une tenue idéale pour une interview ?
La seule tenue idéale est celle à laquelle on ne pense pas et qui vous tombe sous la main. Il ne faut pas trop réfléchir et surtout ne pas penser à ce que les autres vont trouver à redire. On me demande souvent : «Pourquoi ces grosses chaussures ? Pourquoi ces minijupes ?» Et alors ? Je ne sais pas, ça me plaît, c’est moi en ce moment.
Ma personnalité ?
Je reste une énigme à mes propres yeux, et c’est très bien comme ça. Je ne suis pas une femme fatale. J’ai si peu d’expérience, finalement. J’ai la chance d’avoir rencontré un homme dont je suis tombée amoureuse, que j’adore et qui ne me déçoit jamais. C’est une sorte de miracle. Pour le reste, je n’ai pas changé. Je suis toujours la même. J’ai gardé, comme inscrits sur un disque dur, les mêmes goûts que ceux de mon enfance. J’aime nager, marcher, créer, danser, chanter, être sur scène. Depuis toute petite, je suis une hyperactive, je me glisse dans des cosmos différents. J’aime ces métamorphoses, cette ivresse de la liberté.
L’exaltation, à la veille de la sortie de ce film qui a mis du temps à se fabriquer. Tant de passion !
Les Secrets de la princesse de Cadignan, de et avec Arielle Dombasle, Julie Depardieu, Michel Fau, Stanislas Merhar, Cédric Kahn… Sortie le 13 septembre.
L’actrice-réalisatrice illumine de sa fantaisie « Les Secrets de la princesse de Cadignan », un film où elle esquisse le portrait d’une femme déchue, séductrice en diable, décidée à trouver l’amour dans un milieu où se font et se défont les réputations. Une quête passionnée dans laquelle Arielle Dombasle s’élance à la folie, daisant corps avec la singularité excentrique et imprévisible de son héroïne.
Pour la sortie du film « Les Secrets de la princesse de Cadignan » (en salle le 13 septembre), Arielle Dombasle s’est entretenue avec Bertrand Burgalat pour Harper’s Bazaar.
« Les Secrets de la princesse de Cadignan », un film réalisé par Arielle Dombasle, au cinéma le 13 septembre.
« Don Juan femme », selon l’expression de Balzac. D’une intelligence diabolique. Cette femme, qui a eu de nombreux amants, presque tous les personnages masculins de la « Comédie humaine », va enfin trouver l’amour. Le vrai. Le grand.
Arielle Dombasle et Philippe Lacheau étaient les invités de Mouloud Achour dans Clique pour la sortie du film Alibi.com 2 le 8 février prochain.
Ce mercredi 1 février 2023, Arielle Dombasle était aux côtés de Philippe Lacheau dans l’émission « Clique » (présentée par Mouloud Achour sur Canal +) pour promouvoir la sortie en salle du film Alibi.com 2 le 8 février prochain.
Aux côtés de Pierre Palmade, une quarantaine d’artistes d’exception ont accepté de jouer le jeu, parmi lesquels Laurent Gerra, Michèle Bernier, Arnaud Ducret, Isabelle Nanty, Mimie Mathy, Claudio Capéo, Paul Mirabel, Isabelle Boulay, Élie Semoun, Tristan Lopin, Jenifer, Michel Fau, Claire Nadeau, Tom Villa, Sylvie Testud, Baptiste Lecaplain, Amir, Alex Lutz, Chantal Ladesou, Hélène Ségara, Olivier Sitruk, Robert Charlebois, Arielle Dombasle, Olivier De Benoist, Garou, Régis Laspalès, Patrick Fiori et beaucoup d’autres. Dans des décors créés sur mesure, tous ces artistes formeront des duos ou des trios inédits pour interpréter des sketchs hilarants : des parodies de série TV (« Les Drôles de Dames », « Columbo », « Starsky et Hutch »), des sketchs autour de personnages célèbres (Marilyn Monroe et John Kennedy, Adam et Ève, Marie et Jésus), des nouvelles versions de sketchs mythiques (« Le colonel » de Pierre Palmade, « Le bottin » de Sylvie Joly) et beaucoup d’autres surprises…
Côté musique, des artistes de variétés seront projetés dans des tableaux musicaux spectaculaires à la rencontre des plus grandes figures de la chanson française… La Fine Équipe, c’est le défi fou que s’est lancé Pierre Palmade avec ce casting prestigieux. Rire, générosité, bonne humeur et complicité seront plus que jamais les maîtres mots de cette soirée inédite.
Juste avant Noël, Laurent Ruquier célèbre la fin d’année en fanfare avec des Grosses Têtes aussi pétillantes que des bulles de champagne. Deux équipes relèvent le défi de répondre à des questions de culture générale, dansent au rythme de l’orchestre et profitent des jeux et happenings imaginés par le maître de cérémonie de cette soirée exceptionnelle.
Son réseau social préféré ? Son temps d’écran ? Sa vidéo préférée ? Arielle Dombasle nous dit tout ce qu’il se passe dans son phone dans Like It Like That.
Retrouvailles avec Arielle Dombasle au Club Marigny à l’occasion de la parution de « Barbiconic » !
Pouvez-vous expliciter le terme Iconics qui donne son nom à votre prochain album attendu pour cet automne ?
Ce sont des figures qui ont traversé le temps et l’espace. En général, le mot iconique était réservé au domaine du religieux. Pour les orthodoxes, les premières icônes étaient des représentations de vierges. Cela renvoie un peu à l’idée de vénérer une image et que derrière celle-ci, il y a une entité. J’ai choisi de baptiser cet album ainsi car toutes les figures féminines que j’ai reprises sont des femmes légendaires qui figurent dans mon petit bréviaire personnel d’icônes.
Comment s’est fait le choix des reprises qui composent ce disque ?
Nous avons commencé par un choix très large de chaque icône abordée. Pour Marlene Dietrich qui a chanté jusqu’à l’âge de 75 ans ; qui a chanté beaucoup d’artistes ; le panorama était si large qu’il a fallu le réduire petit à petit. Nous avons commencé à travailler plusieurs morceaux ; et cela a été le cas pour toutes ; afin d’arriver à la quintessence de là où l’image, le style et la musique étaient, à nos yeux, au sommet. Nous avons choisi de manière très subjective « Lili Marleen » car une image s’est cristallisée mondialement autour de cette chanson qui était incontournable, nous en avons également retenu deux autres morceaux moins convenus que j’adore. « Boys In The Backroom », où l’on retrouve toute l’ambiguïté de Marlene avec les backrooms et avec elle-même avant les théories du gender car elle a été elle-même la première actrice a porté des smokings et a s’habiller en homme pour jouer sur l’ambiguïté homme-femme très tôt dans les années 30 ; c’est une pionnière et c’est une icône pour cela ! Il y a également « I’m Just A Gigolo », j’aime beaucoup son interprétation. Pour Marilyn Monroe qui est la petite ou grande sœur de toutes les actrices, qui a énormément chanté aussi et dont cela va être du reste le 60ème anniversaire de la mort le 04 août, cela a été difficile de choisir. Marilyn Monroe est une figure tellement à part, tellement touchante et tellement parfaite ; tout comme Brigitte Bardot, Marilyn Monroe a généré tout un style qui a inspiré des milliers de femmes. Elle était la seule à avoir ce style, cette voix avec cet incroyable vibrato ; c’est difficile de faire du Marilyn. Sur l’album, nous avons pris deux de ses standards qui sont adorés du monde entier « I Wanna Be Loved By You » et « Diamond’s Are A Girl’s Best Friend ». Pour Peggy Lee, nous nous sommes intéressés à « Fever » qui a été sa grande aventure ; on disait de cette artiste qu’elle était la Sinatra au féminin. Peggy Lee a fait aussi un peu de cinéma. Toutes les figures présentes sur « Iconics » sont au croisement de la musique et du cinéma. Ces artistes ont été très gâtées car elles ont connu les golden years Américaines ; l’apogée des plus grandes comédies musicales. Aujourd’hui, il n’y a plus au cinéma ce style Stanley Donen, Liza Minelli… Oui, il y a eu « La la Land »…
L’album a été fait par Baptiste Homo et Clément Agapitos qui forment le duo OMOH, le process a été long car nous avons voulu faire un revival qui restitue un son, une saveur et une vérité de l’époque tout en revisitant ces morceaux de manière Electro avec des synthés et des guitares électriques. Au-delà de ces reprises, Charly Voodoo ; m’a proposé cette idée de titre original dédié à Barbie qu’il a écrit et composé.
Vous souvenez-vous de votre première poupée Barbie ?
Evidemment ! Je devais avoir quatre ou cinq ans, je me souviens que l’on m’avait offert une poupée Barbie avec un petit maillot rayé noir et blanc, elle avait des cheveux longs que j’ai immédiatement coiffés. J’ai instantanément été emportée par le charme de cette poupée qui n’était pas l’un de ces gros poupons qui pleure ou une grande poupée figée. C’était une vraie petite égérie futuriste qui faisait tous les métiers. J’ai adoré les panoplies de Barbie avec lesquelles elle pouvait devenir infirmière, pilote d’avion, hôtesse de l’air…J’étais si heureuse d’avoir les nouveaux habits de Barbie, ses petits souliers et tous ses accessoires. J’adorais ma poupée Barbie !
Selon vous, qu’est-ce qui rend Barbie aussi iconique ?
Grâce à Barbie, les petites filles peuvent se projeter quand elles seront jeunes femmes. Cette poupée a des proportions adorables ; et au-delà de cela, elle est sport, Rock, Pop, elle suit les tendances, elle les devance, elle est visionnaire. C’est la seule poupée qui est comme cela. Par ailleurs, elle a été habillée par tous les plus grands couturiers du monde.
Pouvez-vous nous parler plus en détail de la mise en images de « Barbiconic » ?
Sous quelle « forme » aimeriez-vous être immortalisée en poupée ?
Eh bien… Je crois en poupée princesse conte de fée avec une longue robe, une petite couronne et même une baguette magique ; Barbie peut tout faire !
Pensez-vous que Barbie joue encore à l’heure actuelle un rôle important dans le développement des petites filles ?
Oui, tout à fait car Barbie continue d’être la poupée sur laquelle on peut se projeter ; on peut l’habiller comme on veut même si parfois, les parents ne vous laissent pas faire bien qu’ils soient plus libéraux de nos jours. Maintenant, les petites filles peuvent sortir endiamantées et en tutu dans la rue. Elles portent des tas de choses qui scintillent notamment sur les chaussures et elles osent le pink presque bubble-gum de Barbie alors qu’il y a quelques années, c’était vu comme quelque chose d’un peu too much.
« Iconics » va-t-il être un opus essentiellement dansant comme pourrait le laisser entendre les deux premiers extraits ?
Non car sur cet album, il va y avoir des chansons plus langoureuses et dreamy à l’image notamment de « Somewhere Over The Rainbow » de Judy Garland qui est pour moi une étoile particulièrement brillante dans le firmament.
Vous reprenez « J’Ai Deux Amours » de Joséphine Baker, quels seraient les deux vôtres ?
C’est facile, mes deux amours seraient Paris et Zihuatanejo qui est un petit village de pêcheurs sur le Pacifique au Mexique.
Allez-vous présenter en live plus de titres iconiques qu’il n’y en a sur cet album à paraître ?
Sur scène, je vais interpréter les chansons de cet album mais aussi un peu un « best of » de mes précédents albums que le public me demande toujours. Comme nous avons dû réduire le choix des titres que nous avons travaillés pour « Iconics » à douze, je pourrais peut-être en chanter beaucoup plus…
Ce qui n’apparaît pas sur cet album pourrait-il donner lieu à un « Iconics Volume 2 » ?
Maybe, it’s a good idea ! Vous nous la donnez !
Quels sont vos prochains projets ?
Nous hésitons sur le choix du troisième single de ce nouvel album mais nous avons déjà mis en images deux morceaux iconiques ! Un showcase et quelques concerts devraient avoir lieu à L’Alcazar à l’automne au moment de la parution d’« Iconics ».
Barbiconic est une célébration de celle qui fut à l’origine du féminin et du féminisme. Charly Voodoo a composé une ode à cette poupée de chair et de sang qui chante, qui danse et qui réfléchit.
Arielle Dombasle
Iconics avance comme un album de reprises où Arielle incarne, en revêtant leurs habits légendaires, les grandes divas de l’histoire du music-hall : Marlène Dietrich, Peggy Lee, Marilyn Monroe, Joséphine Baker, Judy Garland, Shirley Bassey, Grace Jones, Natalie Wood. Chacune de ces icîones sidérales a été visitée en sa demeure : le ciel étoilé. Arielle s’attaque à leurs standards avec une candeur et une effronterie qui ravient.
Ce matin, Arielle Dombasle était l’invitée de Julia Vignali et Thomas Sotto dans Télématin pour annoncer la sortie de son nouveau single « Barbiconic » qui sortira demain, le 6 juillet 2022.
« Barbiconic » est une célébration de celle qui fut à l’origine du féminin et du féminisme. Charly Voodoo a composé une ode à cette poupée de chair et de sang qui, qui danse et qui réfléchit.
Arielle Dombasle est de retour avec un nouveau single, « Barbiconic » et dévoile les coulisses du tournage du clip en exclusivité pour Télé-Loisirs et Jordan De Luxe !
Regardez l’interview d’Arielle Dombasle en intégralité ci-dessous :
Un clip très coloré pour un titre inédit
De cette ode au féminisme et à la féminité, Arielle Dombasle en garde un très bon souvenir : « C’est compliqué [à tourner] parce qu’il y a un stylisme (…) il fallait que ça soit harmonieux avec la musique et que ce soit une iconographie très pensée. »La compagne de Bernard-Henry Levy s’est attachée les services du réalisateur Nicolas Pradeau, qui a signé le clip de Louis Chedid pour sa reprise « Ainsi soit-il » : « Il est couvert de prix, il est très beau, qui a 22 ans et qui est tellement talentueux. Ça l’a beaucoup inspiré et c’est lui qui a fait tous ces trucages pour me rendre toute petite pour rentrer dans la maison de Barbie. »Barbiconic est un single inédit au sein de son album de reprises dont elle a déjà dévoilé le single « Fever ».
Découvrez Les Grosses Têtes du vendredi 1er juillet 2022 ! Laurent Ruquier vous présente le plateau du jour, depuis Carcassonne : une Grosse Tête qui fait tellement attention à sa ligne qu’elle n’empreinte même pas les chemins de ronde : Arielle Dombasle.
Une Grosse Tête dont les ancêtres devaient assurément être tous Troubadours : Liane Foly. Une Grosse Tête qui est un des rares ex-chroniqueurs d’On n’est pas couché à ne pas s’être encore présenté aux Elections Législatives : Yann Moix. Une Grosse Tête qui jardine dans la journée, mais avec qui c’est silence ça pousse le soir : Steevy Boulay.
Une Grosse Tête qui suit le régime « Comme j’aime Le Cassoulet » : Yoann Riou. Et enfin, une Grosse Tête qui, au moyen-âge, aurait eu plus de chance de finir sur le bûcher que sur un trône : Sébastien Thoen.
On disait d’elle « la Sinatra féminine »… Une star blonde au swing incomparable… Inspiratrice de plusieurs générations de musiciens… De Bette Midler à Madonna, en passant par Tony Bennett ou Paul McCartney…