Arielle Dombasle & Helena Noguerra dans Il n’y a pas qu’une vie dans une vie
Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra seront sur la scène des Folies Bergères, à partir du 24 mai, pour jouer Les Parisiennes. Une revue musicale pétillante qui ressuscite le groupe vocal yé-yé 100% féminin des années 1960.
Paris, sa Tour Eiffel, ses ponts, ses musées, ses Parisiens… et ses Parisiennes ! « Elles ont quelque chose d’unique, assure Arielle Dombasle, invitée de l’émission d’Isabelle Morizet, Il n’y a pas qu’une vie dans la vie. Elles sont toujours à l’avant-garde. » A ses côté, Helena Noguerra confirme : « Les Parisiennes scintillent. »
Quatre Parisiennes aussi pétillantes qu’impertinentes. Les deux artistes en savent quelque chose. A partir du 24 mai, elles incarneront les Parisiennes, aux Folies Bergères, puis en tournée dans toute la France. Un show entre danse et chanson qui fait revivre le groupe féminin de musique yé-yé des années 1960. Sur scène, elles seront quatre. Quatre Parisiennes aussi pétillantes qu’impertinentes : Arielle Dombasle et Helena Noguerra mais aussi Mareva Galanter et Inna Modja.
« La Parisienne a ce petit quelque chose et c’est justement ce petit quelque chose qu’on essaie de restituer sur scène », glisse Arielle Dombasle. Les Parisiennes insufflent une énergie positive dans le marasme ambiant. » « Il y aura beaucoup de paillettes et de fraîcheur », ajoute Helena Noguerra.
« Du vrai live ». Vingt-cinq tableaux, 15 costumes, 4 danseurs, 4 musiciens. C’est une vraie revue musicale que les quatre comédiennes proposent. « Ce qui est exaltant, c’est que les gens connaissent la plupart des chansons », assure Arielle Dombasle. Ils les redécouvrent. » Des chansons très pop selon Helena Noguerra : « Elles sont aussi très jazzy, car c’est le grand compositeur de jazz, Claude Bowling, qui les as composées. Mais comme les paroles sont très fraîches, elles ont l’air de petits bonbons anglais. »
Pour chanter ces « petits bonbons anglais », des artistes qui chantent tout en respectant une chorégraphie millimétrée. « Il faut être parfaitement synchro pour que ce soit joli, confirme Arielle Dombasle. Et ce qui est difficile, c’est que c’est du vrai live. Il y a un orchestre sur scène et on chante vraiment ! »
« Comme les Demoiselles de Rochefort ». « En fait, c’est comme les demoiselles de Rochefort mais à quatre, complète Helena Noguerra. On fait les mêmes pas, on chante les mêmes mots, mais il y a quatre personnalités différentes. » Pour le moment, Les Parisiennes ont une vingtaine de dates prévues en France. Mais le quatuor pourrait peut-être s’exporter à l’étranger. « Je crois qu’il y a une vraie de demande, affirme Arielle Dombasle. Car ça intrigue ! » Go girls !
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