Les Parisiennes sont de retour aux Folies Bergère, du 24 mai au 3 juin, à Paris. Sur une idée de Laurent Ruquier, Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter font revivre le mythique quartet yé-yé sur fond de mélodies pop et jazzy. Le Journal des Femmes était à la grande Première, au sein d’un public ultra VIP. Ambiance.
Le Journal des Femmes a assisté à la Première des Parisiennes, aux Folies Bergère, à Paris, pour admirer les drôles de dames que Laurent Ruquier a choisies afin de ressusciter le girlsband yé-yé de Claude Bolling : Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter, quatre déesses aussi différentes qu’envoûtantes réunies sur la scène de ce haut lieu du divertissement et joyeux repaire mondain.
Lorsque la sonnerie retentit, le Tout-Paris s’engouffre dans cette salle emblématique à l’ambiance feutrée, où l’on croise Michel Drucker, Sophie Davant, Arthur, Léa Salamé, Philippe Manœuvre, Kamel Ouali, Christina Cordula, ou encore Jean Paul Gaultier. Le rideau tombe et pendant une heure, le pétillant quatuor enchaîne une quinzaine de titres en cœur et au rythme de chorégraphies minimalitses où les danseurs font gentiment virevolter les tenues légères de ces Parisiennes version nouvelle.
Nos pin-up agitent leurs jolies jambes vêtues de jupettes, nuisettes, body et imper dorées ou à plumes, dans une mise en scène agréablement ponctuée de saynètes. La salle se réchauffe pendant qu’Arielle Dombasle scrute fréquemment un coin de la salle (et mon voisin) d’un coup d’œil pour s’assurer de la bonne présence de Bernard-Henri Lévy, très attentif. Ah c’qu’on aurait été bête de râter ça ! L’humour, toujours… Avec la chanteuse Anaïs, drôlissime en speakerine désabusée qui apparaît sur un écran géant, entre deux tableaux.
Mais pourquoi ces Parisiennes font-elles autant fantasmer demande-t-on aux personnalités présentes au détour d’un fauteuil en velours ? Elle sont « insaisissables » pour Philippe Katherine, qui tire les ficelles sur grand écran pour Un Tout petit pantin, « rebelles » pour Chantal Thomas, et « culottées » pour Sophie Davant. La Parisienne d’Arthur ? Sa « femme », Mareva Galanter, sur laquelle il pose un regard amoureux. Une virée romantique dans le Paname sixties avec ces charmeuses intrépides, ça vous dit ?
- Où ? Au théâtre des Folies Bergères, 22 rue Richer, Paris 75009
- Quand ? Du 24 mai au 3 juin et en tournée dans toute la France dès septembre 2018
- Prix : de 22 à 59 euros
Plus d’informations sur : www.lesparisiennes-officiel.fr