Arielle Dombasle, Helena Noguerra, Mareva Galanter et Inna Modja reforment « Les Parisiennes » (RTL)

50 ans après le succès du groupe « Les Parisiennes », qui interprétait notamment « Il fait trop beau pour travailler », un nouveau quatuor de filles s’empare de leur répertoire.

À partir de 1964, un groupe de filles cartonnait en France, elles s’appelaient Les Parisiennes et ce matin nous vous révélons qu’un nouveau quatuor va faire revivre leurs chansons. On doit l’idée à Laurent Ruquier, avec sa casquette de producteur, il a convaincu quatre chanteuses de mettre leurs voix à l’unisson : Helena Noguerra, Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Inna Modja. « C’est un girl’s band, c’est-à-dire quatre filles dans le vent qui se mettent ensemble et qui chantent (…) Ce n’est pas les Destiny’s Child, mais c’est peut-être les Supremes », explique Arielle Dombasle.

Ecoutez les interviews d’Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter sur RTL :

Les Parisiennes viennent de terminer l’enregistrement d’un album qui paraîtra au printemps et elles se retrouveront dans un spectacle mis en scène par Stéphane Jarny, première le 24 mai au Théâtre des Folies Bergère, à Paris. Elles chanteront les succès du groupe d’antan : Il fait trop beau pour travailler, L’argent ne fait pas le bonheur, Je te déteste ou Ce soir à Saint-Tropez, des titres composés par Claude Bolling. C’est lui qui avait eu l’idée du groupe à l’époque et il a donné son autorisation pour cette nouvelle formation. « Je n’ai jamais chanté avec d’autres personnes comme cela, à l’unisson, il faut vraiment bien connaître les voix les unes des autres », résume Helena Noguerra.

« Les voix ont aussi été une évidence, ça veut dire qu’elles se sont imbriquées les unes sur les autres », poursuit Mareva Galanter. « Et d’ailleurs il y aura l’orchestre avec nous cette scène (…) On a d’ailleurs travaillé en amont ces musiques de cette époque pour les réinvestir de manière moderne », conclut Arielle Dombasle.