Après la rentrée, les « Grosses Têtes » ont ressorti trousses et cartables pour retrouver la classe du professeur Ruquier. Au programme : délires, surprises, bons et mauvais points, bref, tout pour passer une grande soirée de récré. Sheila, Thomas Dutronc, Marion Game, Bruno Salomone, mais aussi Arielle Boulin-Prat et Bertrand Renard – les arbitres des « Chiffres et des Lettres » – rejoignent la joyeuse bande pour jouer avec eux. En fin d’émission l’incontournable « Invité mystère », met quant à lui les téléspectateurs et les Grosses Têtes au défi de découvrir son identité.
À l’invitation de l’humoriste Kad Merad, Arielle Dombasle et Helena Noguerra se sont retrouvées sur la scène du Théâtre de Paris pour interpréter le célèbre slow culte de Guy Bedos et Sophie Daumier.
C’est en 1973 que le couple formé par Guy Bedos et Sophie Daumier a donné naissance à ce sketch mythique ici repris par Arielle Dombasle et Helena Noguerra, du quatuor Les Parisiennes :
Les Parisiennes sont de retour et « ce sont des beautés ». Arielle Dombasle, invitée d’Anne Roumanoff sur Europe 1 jeudi, a évoqué le quatuor féminin qu’elle forme avec Helena Noguerra, Inna Modja et Mareva Galanter. Convaincues par Laurent Ruquier de reformer le groupe yé-yé des années 60, elles reprennent ensemble les chansons composées par Claude Bolling pour Les Parisiennes de l’époque, parmi lesquelles Il fait trop beau pour travailler, L’argent ne fait pas le bonheur ou encore Je te déteste.
Un « girls band » qui illustre « l’esprit de Paris ». Dans ce « girls band » reformé, ce qui ressort, c’est la mixité. Inna Modja est née au Mali, Helena Noguerra en Belgique, Mareva Galanter à Tahiti et Arielle Dombasle aux États-Unis. D’après cette dernière, cela illustre parfaitement « l’esprit de Paris », « cette chose qui est unique et que le monde entier nous envie ». « Ce qui est merveilleux avec Paris, les Parisiennes, la France, c’est que c’est un pays de mixité », souligne Arielle Dombasle. « Paris, c’est finalement un carrefour de science, d’art et on peut venir d’ailleurs et devenir parfaitement parisienne. »
Ben H : « Arielle Dombasle, vous êtes le rêve absolu de nombreux hommes »
« Il fallait comprendre le style de Bolling ». Après une tournée dans toute la France, les quatre Parisiennes seront sur la scène de l’Olympia les 18 et 19 décembre prochains. « On se met au service des ces Parisiennes, de ce merveilleux Claude Bolling, de ce rythme yé-yé. (…) Il fallait comprendre le style de Bolling, que tout le monde connaît, sans jamais toujours l’identifier », explique Arielle Dombasle. Et comme l’expliquait Mareva Galanter, déjà sur Europe 1, au début du mois, le résultat est probant : « C’est un très beau spectacle avec une belle mise en scène. »