Membre du jury des longs-métrages au festival de Gérardmer, l’emblématique Arielle Dombasle est comme un poisson dans l’eau. La comédienne et réalisatrice, en quête de frissons, n’a pas peur du marathon cinéphile qui l’attend.
Alien Crystal Palace, réalisé par Arielle Dombasle, sera projeté dans le cadre de la nuit décalée du Festival Gérardmer à l’Espace Lac le samedi 1 février 2020 à 22h30.
Dans le cadre de la Green Week, Arielle Dombasle était l’invitée de l’émission « Les Stars Chantent pour la Planète » sur W9.
Après avoir interprété « What a Wonderful World », Arielle Dombasle a présenté son challenge #JeSauveUneSirène et dévoilé le titre « Le Chant des Sirènes (We Bleed for the Ocean) » sur la scène du Palais des Congrès à Paris.
What a Wonderful World (Les Stars Chantent pour la Planète) (28 janvier 2020) :
Le Chant des Sirènes (We Bleed for the Ocean) (Les Stars Chantent pour la Planète) (28 janvier 2020) :
L’indifférence et l’accumulation des matières rejetées négligemment étouffe toute la biodiversité et l’écosystème des océans.
Faites un geste simple : ramassez le plastique, pick up the plastic ! Et postez votre geste en héros moderne qui sauve la planète ! #JeSauveUneSirène
Découvrez l’hymne à la beauté du monde menacée comme jamais, « Le Chant des sirènes (We Bleed for the Ocean) ». Titre disponible déjà disponible !
Arielle Dombasle s’engage… « De l’océan Indien à la Méditerranée, de l’Atlantique au Pacifique, des sources aux lacs, des rivières aux fleuves… Où que je sois, #JeSauveUneSirène, je ramasse le plastique. #PickUpThePlastic ! »
Pour aller plus loin : www.jagispourlanature.org Avec le soutien de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme
Save the mermaids : pick up the plastic ! Sauvons les sirènes, leur royaume disparaît.
Une réflexion en forme de fable, à la fois écologique et onirique, sur l’usage du plastique et ses dangers.
J’ai toujours aimé nager. L’océan, la mer, les cours d’eau restent des sources de beauté éternelle, dont la contemplation est pour moi un plaisir souverain.
Malheureusement, cette beauté s’altère. Au cours des années, les endroits les plus purs, les écosystèmes les plus harmonieux, les eaux les plus cristallines, subissent une dégradation tragique, envahis par des détritus toujours plus abondants, à commencer par les déchets en matière plastique.
Cet état de choses me choque, me révolte.
Un jour donc, je me suis décidée à ramasser, à ma mesure, ce plastique si présent, échoué sur les plages et sous l’eau.
Je me suis dit : « C’est toujours mieux que rien ».
Mais cela ne suffit évidemment pas. Car, bien entendu, il faudrait que chacun d’entre nous en prenne conscience. C’est pour cela que j’ai choisi le chemin de la fable pour essayer d’éveiller les consciences.La figure de la sirène a toujours cristallisé les imaginaires autour du mystère et de la beauté des océans.
Montrant les sirènes en prise avec le nouveau mal contemporain, le plastique, ce film me semble accéder aux métaphores les plus ancrées dans notre imaginaire. Il nous montre la résistance conjointe des sirènes et des créatures aquatiques en lutte contre ce fléau contemporain : le plastique.
Pour autant, le plastique en soi ne me déplaît pas. Il serait vain d’imaginer un monde sans plastique. Il est intrinsèquement lié à toutes les modern technologies (lunettes, téléphones, ordinateurs, matière première pour : l’industrie pharmaceutique, médicale, cosmétique, aéronautique, automobile…). Issue de l’industrie pétrochimique, voilà une matière alchimique par excellence : malléable, transparente,prenant toutes les formes, toutes les forces. C’est une matière à la fois bénéfique et maléfique. Bénéfique car elle tient un rôle majeur dans l’esthétique et la pratique du monde moderne. Maléfique parce qu’elle est méprisée, car peu chère, puis jetée négligemment.
Rien ne me tient plus à cœur aujourd’hui que de contribuer à ma manière au sauvetage de notre planète,de nos rivières et océans.
A ma mesure, avec ma sensibilité et mon propre style, j’essaie par ce film Pick up the Plastic ! de toucher l’imaginaire de tous, d’émouvoir et d’éveiller ainsi les consciences.